Test de PGR 3 sur Xbox 360
Project Gotham Racing 3 est sans aucun doute l’un des jeux les plus attendus sur Xbox 360. Annoncé comme le jeu de course automobile de référence, il est passé entre les mains expertes des pilotes de la rédaction.
Project Gotham Racing 3 est sans aucun doute l’un des jeux les plus attendus sur la nouvelle console de Microsoft. Arrivant après deux épisodes réalisés pour la Xbox première du nom, il accompagne la sortie de la Xbox 360. Annoncé comme le jeu de course automobile de référence, il est passé entre les mains expertes des pilotes de la rédaction. Après de nombreuses heures de jeu, ces derniers nous livrent leur verdict.
Après une brève introduction destinée à nous mettre l’eau à la bouche, nous nous retrouvons devant un vaste choix de modes de jeu. Que ce soit seul ou à plusieurs, Project Gotham Racing 3 (PGR 3) va mettre à rude épreuve nos talents de pilote. Fidèle à ce que proposaient ses illustres aînés, ce troisième opus va une fois de plus nous demander, pour la carrière solo, de gagner un maximum de Kudos au cours de 23 trophées regroupant différentes épreuves. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, il faut se procurer un bolide digne de ce nom, capable de laisser sur place tous nos adversaires. Malheureusement, le total de crédits du départ est plutôt faible, et les premières voitures disponibles, bien que très agréables à regarder, offrent des possibilités plus que limitées.
Une fois le choix arrêté, nous pouvons enfin entrer dans le vif du sujet et partir à l’assaut des trophées disponibles. Chacun d’entre eux propose différents types d’épreuves (Tour infernal, course chrono, course de rues, défi cônes, dépassement, etc.) qui offrent plusieurs niveaux de difficulté allant de novice à expert. Ainsi, suivant celui choisi, le nombre de voitures à doubler, de Kudos a gagné ou le temps minimum à effectuer est différent. Mais ce n’est pas tout, car le choix du véhicule influe également sur l’objectif à atteindre ou sur le type de bolides que nous avons à affronter. Opter toujours pour la voiture la plus performante n’est donc pas la meilleure solution pour espérer emporter la victoire. Il faut parfois s’y reprendre à plusieurs fois, pour peu que le bolide choisi soit inadapté ou que le niveau de difficulté soit trop élevé. Ce n’est toutefois pas bien gênant puisque le nombre de véhicules disponibles est suffisant pour qu’une fois quelques épreuves remportées (et crédits accumulés), nous puissions choisir celui qui convient le mieux à notre façon de piloter. Certains ont tendance à déraper au moindre coup de volant, tandis que d’autres collent parfaitement à la route. À nous donc de choisir le mieux adapté à la situation.
Hélas, après avoir pris la mesure notre voiture, les trophées s’enchaînent avec une trop grande facilité, pour peu qu’on ait déjà passé par mal de temps sur les épisodes précédents. Heureusement, certaines épreuves originales (temps vs kudos, point de contrôle, etc.) sont là pour nous rappeler qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Du coup, notre fierté en prend un coup et ce n’est pas un mal. Toutes les villes proposées (Londres, Tokyo, Las Vegas, New York) sont également l’occasion de découvrir de nombreux environnements, qu’il est souvent plus facile de traverser de jour que de nuit. Chaque trophée propose donc son lot de nouveaux circuits et il faut attendre les derniers pour pouvoir en découdre sur le célèbre tracé du Nürburgring. C’est ainsi qu’au volant d’une Ultima GTR nous allons foncer vers la gloire et la fortune. Nous l’avons dit, chaque épreuve permet de gagner des kudos qui donnent accès à de jolies voitures, mais ce n’est pas tout, car chaque victoire augmente également notre total de crédits. Ceux-ci, permettant par la suite d’acheter de nouveaux véhicules stockés dans les différents garages installés en ville.
Course de rues, Dépassement, Défi cônes, voila ce qui nous attend
Ce qui frappe dès le lancement du jeu, c’est la qualité des graphismes. Chaque véhicule disponible est parfaitement modélisé. Du coup, c’est avec toujours plus de plaisir que nous dépensons nos crédits si chèrement gagnés. Les petites promenades dans le garage sont l’occasion de découvrir des voitures offrant toujours plus de détails et jouer en vue intérieure est criant de vérité. En effet, le tableau de bord n’est pas une simple texture posée là par hasard et chaque bolide dispose d’un habitacle, fidèlement reproduit, qui lui est propre. La modélisation des circuits n’est pas en reste non plus. Ainsi, chaque ville traversée permet de découvrir des décors variés, fidèles à la réalité. Malheureusement, elles ne proposent que très peu de dénivelés et malgré quelques bosses disséminées de-ci de-là, les courses se font sur des tracés relativement plats. Mais ce n’est pas tout, car le public fait une apparition plus que remarquée dans ce troisième épisode. En effet, il ne se contente pas d’être spectateur, il est aussi acteur. Il prend des photos, il recule en cas de choc contre un muret et vit la course au moins autant que nous.
Tout ceci contribue donc à faire de PGR 3 un titre agréable à regarder qui offre une très bonne sensation de vitesse, surtout lorsqu’on utilise la vue au ras du sol. Rouler vite peu parfois être dommageable pour notre bolide. Ainsi, il n’est pas rare de se retrouver avec quelques éraflures sur notre belle carrosserie ou un rétroviseur en moins. Attention, ne vous attendez cependant pas à voir votre voiture voler en éclats au moindre choc contre un mur, les dégâts ayant été minimisés afin de rendre le jeu accessible à tous. Malheureusement, cette surenchère, d’éléments de décors, de détails et d’effets spéciaux, fait que nous avons devant nous un jeu ne tournant pas à 60 images par seconde et il n’est pas rare, même, lorsqu’on traverse le Brooklyn Brigde de New York, d’observer quelques ralentissements, dès lors que deux ou trois adversaires se trouvent devant nous.
Agréable à regarder, PGR 3 est aussi agréable à écouter. Chaque bolide dispose ainsi de sa sonorité d’origine. Pourtant, bien que très bien rendue, cette douce musique ne tient pas compte, tout comme pour les TOCA Race Driver, des dégâts sur la boîte de vitesse ou sur le moteur qu’aurait pu occasionner la rencontre entre notre Ultima GTR et un mur. C’est donc accompagné d’une mélodie sans fausse note que nous enfilons les tours. Bien sûr le ronronnement du moteur n’est pas la seule chose qui se fait entendre et le titre de Bizarre Creations dispose d’une riche bande-son qui propose des titres variés (alternatif, classique, rock, hip-hop, j-pop, bhangra, etc.). Enfin, si les titres disponibles ne sont pas à notre goût, il est toujours possible d’écouter d’autres morceaux stockés sur le disque dur ou sur un lecteur externe connecté au port USB.
De nouvelles voitures n’attendent qu’un signe pour investir notre garage
Fidèle à ce que proposait son illustre prédécesseur sur Xbox, ce troisième opus utilise à merveille le Xbox Live. Ainsi, dès que la console est connectée, nous nous retrouvons confrontés aux autres pilotes du monde entier. Apparaître dans le haut du classement est d’autant plus difficile que, comme pour tous les jeux jouables en ligne, il existe des malades du stick analogique. Enregistrer ses scores, visualiser les fantômes des dix premiers, comparer nos performances avec celles de nos amis, c’est bien, mais montrer à tous, qui est le meilleur, c’est encore mieux. PGR 3 propose donc un mode Xbox Live comparable à celui de PGR 2 auquel vient s’ajouter le Championnat en Ligne. Ce dernier nous propose des épreuves prédéfinies (course de rue, duel, point de contrôle, etc.). Chaque partie créée nous met en relation avec des joueurs ayant le même niveau et un véhicule appartenant à la même classe que nous. Ici, aucune chance de tomber sur le numéro un mondial, pour cela, il faudra essayer de l’inviter à se joindre à une partie spécialement créée pour l’occasion, en espérant qu’il accepte la confrontation.
C’est ainsi, qu’avec un peu de chance, nous avons la possibilité de devenir une star. En effet, PGR 3 ne se contente pas de proposer de participer à des courses endiablées, il permet aussi de les regarder sur « Gotham TV ». Ainsi, lors des tours de circuit sur le Live, il n’est pas rare de voir notre course diffusée sur la « chaîne de télévision » du jeu. Bien sûr, jouer les stars c’est sympa, mais comme un peu de détente n’est pas non plus désagréable, il est aussi possible de tranquillement s’installer devant la télévision pour regarder d’autres pilotes en découdre sur la « chaîne des héros » ou la « chaîne des amis ».
Dans les petits plus qui font la différence, PGR 3 propose également un éditeur de parcours qui offre la possibilité de créer des tracés en plaçant différents points de contrôle à des endroits bien précis. Limité dans son usage, il permet tout de même de créer des circuits inédits qu’il est alors possible de parcourir seul contre un adversaire virtuel ou avec nos amis sur le Xbox Live. Enfin, on termine avec le mode [logiciel:14675 Photo Plus] qu’anecdotique. Bien que disponible à tout moment, il n’autorise pas l’exportation de nos réalisations vers un autre support ou même de les visionner depuis le [logiciel:129986 Dashboard]. Vraiment dommage.
Gotham TV, mode photo, éditeur de parcours, les petits plus de ce troisième épisode
Project Gotham Racing 3, bien que très beau graphiquement et offrant une gestion du Xbox Live de tous les instants, reste tout de même en deçà de ce que nous sommes en droit d’attendre sur Xbox 360. Les fans du genre en viendront vite à bout (7h30 pour obtenir toutes les médailles d’or) et ses temps de chargement parfois extrêmes (supérieurs à 30 secondes) en rebuteront plus d’un. Le titre de Bizarre Creations, bien qu’étant de très bonne facture, aurait mérité quelques mois de développement supplémentaires. Ainsi, il serait arrivé avec des temps de chargement plus court et une vitesse d’animation plus proche des 60 images par seconde : deux éléments que l’on est en droit d’attendre sur une console nouvelle génération. Enfin, il aurait aussi pu bénéficier d’une vraie résolution haute définition (1280x720) et non de son mode « tronqué » (1024x600).
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Qui veut gagner des [logiciel:194986 Kudos] ?
Après une brève introduction destinée à nous mettre l’eau à la bouche, nous nous retrouvons devant un vaste choix de modes de jeu. Que ce soit seul ou à plusieurs, Project Gotham Racing 3 (PGR 3) va mettre à rude épreuve nos talents de pilote. Fidèle à ce que proposaient ses illustres aînés, ce troisième opus va une fois de plus nous demander, pour la carrière solo, de gagner un maximum de Kudos au cours de 23 trophées regroupant différentes épreuves. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, il faut se procurer un bolide digne de ce nom, capable de laisser sur place tous nos adversaires. Malheureusement, le total de crédits du départ est plutôt faible, et les premières voitures disponibles, bien que très agréables à regarder, offrent des possibilités plus que limitées.
Une fois le choix arrêté, nous pouvons enfin entrer dans le vif du sujet et partir à l’assaut des trophées disponibles. Chacun d’entre eux propose différents types d’épreuves (Tour infernal, course chrono, course de rues, défi cônes, dépassement, etc.) qui offrent plusieurs niveaux de difficulté allant de novice à expert. Ainsi, suivant celui choisi, le nombre de voitures à doubler, de Kudos a gagné ou le temps minimum à effectuer est différent. Mais ce n’est pas tout, car le choix du véhicule influe également sur l’objectif à atteindre ou sur le type de bolides que nous avons à affronter. Opter toujours pour la voiture la plus performante n’est donc pas la meilleure solution pour espérer emporter la victoire. Il faut parfois s’y reprendre à plusieurs fois, pour peu que le bolide choisi soit inadapté ou que le niveau de difficulté soit trop élevé. Ce n’est toutefois pas bien gênant puisque le nombre de véhicules disponibles est suffisant pour qu’une fois quelques épreuves remportées (et crédits accumulés), nous puissions choisir celui qui convient le mieux à notre façon de piloter. Certains ont tendance à déraper au moindre coup de volant, tandis que d’autres collent parfaitement à la route. À nous donc de choisir le mieux adapté à la situation.
Hélas, après avoir pris la mesure notre voiture, les trophées s’enchaînent avec une trop grande facilité, pour peu qu’on ait déjà passé par mal de temps sur les épisodes précédents. Heureusement, certaines épreuves originales (temps vs kudos, point de contrôle, etc.) sont là pour nous rappeler qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Du coup, notre fierté en prend un coup et ce n’est pas un mal. Toutes les villes proposées (Londres, Tokyo, Las Vegas, New York) sont également l’occasion de découvrir de nombreux environnements, qu’il est souvent plus facile de traverser de jour que de nuit. Chaque trophée propose donc son lot de nouveaux circuits et il faut attendre les derniers pour pouvoir en découdre sur le célèbre tracé du Nürburgring. C’est ainsi qu’au volant d’une Ultima GTR nous allons foncer vers la gloire et la fortune. Nous l’avons dit, chaque épreuve permet de gagner des kudos qui donnent accès à de jolies voitures, mais ce n’est pas tout, car chaque victoire augmente également notre total de crédits. Ceux-ci, permettant par la suite d’acheter de nouveaux véhicules stockés dans les différents garages installés en ville.
Course de rues, Dépassement, Défi cônes, voila ce qui nous attend
Un jeu nouvelle génération
Ce qui frappe dès le lancement du jeu, c’est la qualité des graphismes. Chaque véhicule disponible est parfaitement modélisé. Du coup, c’est avec toujours plus de plaisir que nous dépensons nos crédits si chèrement gagnés. Les petites promenades dans le garage sont l’occasion de découvrir des voitures offrant toujours plus de détails et jouer en vue intérieure est criant de vérité. En effet, le tableau de bord n’est pas une simple texture posée là par hasard et chaque bolide dispose d’un habitacle, fidèlement reproduit, qui lui est propre. La modélisation des circuits n’est pas en reste non plus. Ainsi, chaque ville traversée permet de découvrir des décors variés, fidèles à la réalité. Malheureusement, elles ne proposent que très peu de dénivelés et malgré quelques bosses disséminées de-ci de-là, les courses se font sur des tracés relativement plats. Mais ce n’est pas tout, car le public fait une apparition plus que remarquée dans ce troisième épisode. En effet, il ne se contente pas d’être spectateur, il est aussi acteur. Il prend des photos, il recule en cas de choc contre un muret et vit la course au moins autant que nous.
Tout ceci contribue donc à faire de PGR 3 un titre agréable à regarder qui offre une très bonne sensation de vitesse, surtout lorsqu’on utilise la vue au ras du sol. Rouler vite peu parfois être dommageable pour notre bolide. Ainsi, il n’est pas rare de se retrouver avec quelques éraflures sur notre belle carrosserie ou un rétroviseur en moins. Attention, ne vous attendez cependant pas à voir votre voiture voler en éclats au moindre choc contre un mur, les dégâts ayant été minimisés afin de rendre le jeu accessible à tous. Malheureusement, cette surenchère, d’éléments de décors, de détails et d’effets spéciaux, fait que nous avons devant nous un jeu ne tournant pas à 60 images par seconde et il n’est pas rare, même, lorsqu’on traverse le Brooklyn Brigde de New York, d’observer quelques ralentissements, dès lors que deux ou trois adversaires se trouvent devant nous.
Agréable à regarder, PGR 3 est aussi agréable à écouter. Chaque bolide dispose ainsi de sa sonorité d’origine. Pourtant, bien que très bien rendue, cette douce musique ne tient pas compte, tout comme pour les TOCA Race Driver, des dégâts sur la boîte de vitesse ou sur le moteur qu’aurait pu occasionner la rencontre entre notre Ultima GTR et un mur. C’est donc accompagné d’une mélodie sans fausse note que nous enfilons les tours. Bien sûr le ronronnement du moteur n’est pas la seule chose qui se fait entendre et le titre de Bizarre Creations dispose d’une riche bande-son qui propose des titres variés (alternatif, classique, rock, hip-hop, j-pop, bhangra, etc.). Enfin, si les titres disponibles ne sont pas à notre goût, il est toujours possible d’écouter d’autres morceaux stockés sur le disque dur ou sur un lecteur externe connecté au port USB.
De nouvelles voitures n’attendent qu’un signe pour investir notre garage
Les petits plus de ce troisième épisode
Fidèle à ce que proposait son illustre prédécesseur sur Xbox, ce troisième opus utilise à merveille le Xbox Live. Ainsi, dès que la console est connectée, nous nous retrouvons confrontés aux autres pilotes du monde entier. Apparaître dans le haut du classement est d’autant plus difficile que, comme pour tous les jeux jouables en ligne, il existe des malades du stick analogique. Enregistrer ses scores, visualiser les fantômes des dix premiers, comparer nos performances avec celles de nos amis, c’est bien, mais montrer à tous, qui est le meilleur, c’est encore mieux. PGR 3 propose donc un mode Xbox Live comparable à celui de PGR 2 auquel vient s’ajouter le Championnat en Ligne. Ce dernier nous propose des épreuves prédéfinies (course de rue, duel, point de contrôle, etc.). Chaque partie créée nous met en relation avec des joueurs ayant le même niveau et un véhicule appartenant à la même classe que nous. Ici, aucune chance de tomber sur le numéro un mondial, pour cela, il faudra essayer de l’inviter à se joindre à une partie spécialement créée pour l’occasion, en espérant qu’il accepte la confrontation.
C’est ainsi, qu’avec un peu de chance, nous avons la possibilité de devenir une star. En effet, PGR 3 ne se contente pas de proposer de participer à des courses endiablées, il permet aussi de les regarder sur « Gotham TV ». Ainsi, lors des tours de circuit sur le Live, il n’est pas rare de voir notre course diffusée sur la « chaîne de télévision » du jeu. Bien sûr, jouer les stars c’est sympa, mais comme un peu de détente n’est pas non plus désagréable, il est aussi possible de tranquillement s’installer devant la télévision pour regarder d’autres pilotes en découdre sur la « chaîne des héros » ou la « chaîne des amis ».
Dans les petits plus qui font la différence, PGR 3 propose également un éditeur de parcours qui offre la possibilité de créer des tracés en plaçant différents points de contrôle à des endroits bien précis. Limité dans son usage, il permet tout de même de créer des circuits inédits qu’il est alors possible de parcourir seul contre un adversaire virtuel ou avec nos amis sur le Xbox Live. Enfin, on termine avec le mode [logiciel:14675 Photo Plus] qu’anecdotique. Bien que disponible à tout moment, il n’autorise pas l’exportation de nos réalisations vers un autre support ou même de les visionner depuis le [logiciel:129986 Dashboard]. Vraiment dommage.
Gotham TV, mode photo, éditeur de parcours, les petits plus de ce troisième épisode
Conclusion
Project Gotham Racing 3, bien que très beau graphiquement et offrant une gestion du Xbox Live de tous les instants, reste tout de même en deçà de ce que nous sommes en droit d’attendre sur Xbox 360. Les fans du genre en viendront vite à bout (7h30 pour obtenir toutes les médailles d’or) et ses temps de chargement parfois extrêmes (supérieurs à 30 secondes) en rebuteront plus d’un. Le titre de Bizarre Creations, bien qu’étant de très bonne facture, aurait mérité quelques mois de développement supplémentaires. Ainsi, il serait arrivé avec des temps de chargement plus court et une vitesse d’animation plus proche des 60 images par seconde : deux éléments que l’on est en droit d’attendre sur une console nouvelle génération. Enfin, il aurait aussi pu bénéficier d’une vraie résolution haute définition (1280x720) et non de son mode « tronqué » (1024x600).
Ce jeu vous intéresse ? Retrouvez-le dans le
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