Stranglehold : le Yun-Fat Show ?
Après le grand écran, John Woo s'attaque à nos petits écrans de consoles et PC avec son Stranglehold. Cette paternité ne semble vraiment pas être une simple façade commerciale, car le cinéaste (un des maîtres incontestés des films d'action tout de même) nous propose un véritable cocktail d'action à outrance : cascades, combats et armes en tout genre, mise en scène cinématographique... avec en prime un avatar virtuel ressemblant trait pour trait à Chow Yun-Fat (l'acteur fétiche de John Woo). Après une version Xbox 360 explosive, Stranglehold débarque enfin sur PlayStation 3. Le titre de Midway n'a-t-il rien perdu de sa fureur ?
Comme le laisse légèrement penser le jeu de mots de l'intertitre, Stranglehold nous met dans la peau du policier hongkongais Tequila (héros du film À toute épreuve), connu pour ne jamais faire dans la dentelle, au cours d'une aventure qui s'avère très « raccord » au niveau des environnements présents dans ce même long-métrage. Que ce soit le bar (tenu d'ailleurs par John Woo en personne !) ou la baie de Hong Kong... tout est là pour mettre le fan en terrain connu. Après un menu très stylisé et de nombreuses options de paramétrage (type de téléviseur, sensibilité de la manette, etc.) configurées, nous sommes invités à jouer des sticks et des boutons pour faire avancer Tequila dans sa quête destructrice. Même si la plastique paraît d'emblée de qualité, c'est vraiment manette en main que l'on peut juger Stranglehold, tant il fait appel à nos tripes et nous injecte une bonne dose d'adrénaline. Le VidéoTest qui suit étaye tous les principaux points qui composent Stranglehold :
Sans trop en dévoiler, disons que le scénario nous entraîne dans une guerre des gangs, de Hong-Kong à Chicago, où le brave Tequila devra servir de tampon, histoire de faire régner l'ordre... et accessoirement de retrouver ce qu'il recherche, à savoir deux demoiselles chères à son coeur. Mais stop ! Vous n'en saurez pas plus. Cette aventure nous entraîne dans sept chapitres, qui correspondent à sept grandes zones. Des lieux dans lesquels on tire comme on respire bien sûr, mais où viennent également se greffer certaines phases de gameplay originales comme celle de l'hélicoptère. La vidéo exclusive présente ci-dessous illustre justement ce passage :
A noter enfin que cette version PlayStation 3, arrivée avec quelques semaines de retard, ne diffère cependant en (presque) rien de son homologue Xbox 360. Seule la tonalité des couleurs affichées par la console de Sony permet de distinguer les deux versions du premier coup d'oeil : plus vives, voire saturées, celles-ci tranchent assez nettement avec le rendu cinématographique de la version Xbox 360. On notera également un calibrage plus sensible des sticks de la Sixaxis, l'absence, assez regrettable, de vibrations et, enfin, quelques temps de chargement légèrement plus longs que sur la console de Microsoft. Hormis ces quelques détails, Stranglehold sur PlayStation 3 se révèle toujours aussi jouissif, comme en témoigne cette vidéo exclusive réalisée à partir de cette dernière.
Stranglehold remplit pleinement son rôle de grand défouloir, pour peu que l'on soit prévenu de ce qui nous attend au départ. Un cocktail aussi explosif que jouissif, où les balles ricochent telles des pétales de cerisiers en fleur, où les balles perforent plus efficacement les murs qu'une armada de boulets de démolition. S'il avait réussi à plus se renouveler à partir du troisième ou quatrième chapitre (environ la moitié du jeu) et bénéficié d'une meilleure finition aux entournures, il aurait pu être sans mal un très grand jeu. Stranglehold n'en demeure pas moins un titre sûr, honnête avec le joueur et garant de l'image de son metteur en scène, John Woo. Les fans du cinéaste comme du genre peuvent foncer !
Ce jeu vous intéresse ? Retrouvez-le dans le
Comparer les prix de Stranglehold sur PlayStation 3
T'es qui là ?
Comme le laisse légèrement penser le jeu de mots de l'intertitre, Stranglehold nous met dans la peau du policier hongkongais Tequila (héros du film À toute épreuve), connu pour ne jamais faire dans la dentelle, au cours d'une aventure qui s'avère très « raccord » au niveau des environnements présents dans ce même long-métrage. Que ce soit le bar (tenu d'ailleurs par John Woo en personne !) ou la baie de Hong Kong... tout est là pour mettre le fan en terrain connu. Après un menu très stylisé et de nombreuses options de paramétrage (type de téléviseur, sensibilité de la manette, etc.) configurées, nous sommes invités à jouer des sticks et des boutons pour faire avancer Tequila dans sa quête destructrice. Même si la plastique paraît d'emblée de qualité, c'est vraiment manette en main que l'on peut juger Stranglehold, tant il fait appel à nos tripes et nous injecte une bonne dose d'adrénaline. Le VidéoTest qui suit étaye tous les principaux points qui composent Stranglehold :
VidéoTest de Stranglehold sur X360
Vidéo commentée de Stranglehold
Woo is Woo
Sans trop en dévoiler, disons que le scénario nous entraîne dans une guerre des gangs, de Hong-Kong à Chicago, où le brave Tequila devra servir de tampon, histoire de faire régner l'ordre... et accessoirement de retrouver ce qu'il recherche, à savoir deux demoiselles chères à son coeur. Mais stop ! Vous n'en saurez pas plus. Cette aventure nous entraîne dans sept chapitres, qui correspondent à sept grandes zones. Des lieux dans lesquels on tire comme on respire bien sûr, mais où viennent également se greffer certaines phases de gameplay originales comme celle de l'hélicoptère. La vidéo exclusive présente ci-dessous illustre justement ce passage :
Vidéo exclu #3 - En hélicoptère
Vidéo exclu #3 - En hélicoptère
A noter enfin que cette version PlayStation 3, arrivée avec quelques semaines de retard, ne diffère cependant en (presque) rien de son homologue Xbox 360. Seule la tonalité des couleurs affichées par la console de Sony permet de distinguer les deux versions du premier coup d'oeil : plus vives, voire saturées, celles-ci tranchent assez nettement avec le rendu cinématographique de la version Xbox 360. On notera également un calibrage plus sensible des sticks de la Sixaxis, l'absence, assez regrettable, de vibrations et, enfin, quelques temps de chargement légèrement plus longs que sur la console de Microsoft. Hormis ces quelques détails, Stranglehold sur PlayStation 3 se révèle toujours aussi jouissif, comme en témoigne cette vidéo exclusive réalisée à partir de cette dernière.
L'inspecteur Tequila arrive sur PlayStation 3
L'inspecteur Tequila arrive sur PlayStation 3
Conclusion :
Stranglehold remplit pleinement son rôle de grand défouloir, pour peu que l'on soit prévenu de ce qui nous attend au départ. Un cocktail aussi explosif que jouissif, où les balles ricochent telles des pétales de cerisiers en fleur, où les balles perforent plus efficacement les murs qu'une armada de boulets de démolition. S'il avait réussi à plus se renouveler à partir du troisième ou quatrième chapitre (environ la moitié du jeu) et bénéficié d'une meilleure finition aux entournures, il aurait pu être sans mal un très grand jeu. Stranglehold n'en demeure pas moins un titre sûr, honnête avec le joueur et garant de l'image de son metteur en scène, John Woo. Les fans du cinéaste comme du genre peuvent foncer !
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