Test de Darkstone
Pour sauver le monde d'un mal sans nom, des héros vont prendre les armes. Deux héros. On en aurait bien demandé plus, mais il y avait probablement une grève des postiers lorsque les avis ont été diffusés. Comme souvent, la partie commence par la création de vos personnages. En choisissant une classe, vous déterminez un profil de base et une apparence. On regrette de ne pas disposer de plus de liberté dans ces choix et même si cela fait toujours un peu gadget, la personnalisation de ses héros constitue toujours un élément incontournable de l'immersion.
Une fois désignés, vos deux braves vont débarquer dans un petit village bâti autour de quelques commerces. Bien vite, vous vous rendrez compte que pour acheter des armes, de la nourriture, des sorts et de l'équipement, il vous faudra de l'or. Puisque la région regorge de souterrains, de sépultures, de fortins et de campement de monstres, il vous reste à aller récolter un peu d'or et d'expérience aux quatre coins du royaume. Si en plus, vous en profitez pour réaliser une prophétie et sauver le monde, c'est autant de gagné.
Darkstone ressemble dans son principe à un jeu comme Diablo, si ce n'est qu'il propose un moteur 3D qui, pour ne pas être des plus fins, n'en est pas moins élégant. Un certain look cartoon offre au jeu une atmosphère bon enfant, loin du côté barbare et sanglant de la fantasy telle qu'on la connaît. On croirait presque jouer à un jeu de rôle japonnais comme il en existe tant sur les consoles de l'empire du soleil levant... Les quêtes proposées sont par ailleurs si classiques et entendues qu'on frôle parfois la parodie.
Sauver la princesse, rechercher l'épée magique, tuer le monstre, vaincre le sortilège... Walt Disney y aurait trouvé de quoi réussir quelques uns de ses plus beaux coups de filet. Pourtant, même le plus blasé des rôlistes y trouvera son compte, parce que l'ambiance est prennante et que l'on est rapidement pris par l'envie de voir ses personnages stéréotypés progresser. L'un des éléments facilitant l'acclimatation est sans nulle doute la relative facilité avec laquelle on progresse, aussi bien en extérieur qu'en intérieur. Même si les randonnées sylvestres ne sont que des donjons boisés.
Rapidement, toutefois, le joueur se mettra à chercher voire souhaiter la difficulté. Les monstres rencontrés sont pour la plupart faciles à vaincre et leur nombre seul peut finalement poser problème. Si l'on prend la peine de sauvegarder souvent, de reposer ses personnages après chaque combat et de tenir quelques provisions en réserve pour les cas les plus graves, on en arrive finalement à ne plus redouter que l'ennui et la répétition. Darkstone n'est reste pas moins un délassement agréable, qui ne remplacera toutefois ni Diablo ni Neverwinter Nights.
Une fois désignés, vos deux braves vont débarquer dans un petit village bâti autour de quelques commerces. Bien vite, vous vous rendrez compte que pour acheter des armes, de la nourriture, des sorts et de l'équipement, il vous faudra de l'or. Puisque la région regorge de souterrains, de sépultures, de fortins et de campement de monstres, il vous reste à aller récolter un peu d'or et d'expérience aux quatre coins du royaume. Si en plus, vous en profitez pour réaliser une prophétie et sauver le monde, c'est autant de gagné.
Darkstone ressemble dans son principe à un jeu comme Diablo, si ce n'est qu'il propose un moteur 3D qui, pour ne pas être des plus fins, n'en est pas moins élégant. Un certain look cartoon offre au jeu une atmosphère bon enfant, loin du côté barbare et sanglant de la fantasy telle qu'on la connaît. On croirait presque jouer à un jeu de rôle japonnais comme il en existe tant sur les consoles de l'empire du soleil levant... Les quêtes proposées sont par ailleurs si classiques et entendues qu'on frôle parfois la parodie.
Sauver la princesse, rechercher l'épée magique, tuer le monstre, vaincre le sortilège... Walt Disney y aurait trouvé de quoi réussir quelques uns de ses plus beaux coups de filet. Pourtant, même le plus blasé des rôlistes y trouvera son compte, parce que l'ambiance est prennante et que l'on est rapidement pris par l'envie de voir ses personnages stéréotypés progresser. L'un des éléments facilitant l'acclimatation est sans nulle doute la relative facilité avec laquelle on progresse, aussi bien en extérieur qu'en intérieur. Même si les randonnées sylvestres ne sont que des donjons boisés.
Rapidement, toutefois, le joueur se mettra à chercher voire souhaiter la difficulté. Les monstres rencontrés sont pour la plupart faciles à vaincre et leur nombre seul peut finalement poser problème. Si l'on prend la peine de sauvegarder souvent, de reposer ses personnages après chaque combat et de tenir quelques provisions en réserve pour les cas les plus graves, on en arrive finalement à ne plus redouter que l'ennui et la répétition. Darkstone n'est reste pas moins un délassement agréable, qui ne remplacera toutefois ni Diablo ni Neverwinter Nights.