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Forum Dishonored
{Topic Principal} Dishonored
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Sauvegarde...
Dishonored
Editeur : Bethesda Softworks
Développeur : Arkane Studios
Type : Action / Aventure / Infiltration
Sortie France : 2012
Dishonored a pour toile de fond Dunwall, une ville industrielle de chasseurs de baleines où coexistent d'étranges technologies et un mysticisme transcendantal. Accusé à tort de l'assassinat de l'Impératrice, dont vous étiez le fidèle garde du corps, vous devenez un assassin redouté de tous qui se cache derrière son masque sinistre. En ces temps troublés, alors que la ville est frappée par une terrible épidémie et ploie sous le joug d'un gouvernement oppressif armé de technologies néo-industrielles, des forces obscures s'apprêtent à vous conférer des aptitudes surhumaines... mais à quel prix ? La vérité qui se cache derrière votre prétendue trahison est aussi trouble que les eaux qui entourent la ville. Vous ne retrouverez jamais votre vie passée
Modérateur Actu
Sauvegarde...
Preview/Site Officiel/Impression Vidéo/Images
Preview JeuxVidéo.fr
Avec son gameplay ouvert basé sur l'assassinat et ses décors incroyablement stylisés, Dishonored est l'un des jeux les plus prometteurs de 2012.
Gros titre de l'année 2012 pour son éditeur Bethesda, Dishonored promet rien moins qu'un retour aux sources, celles d'un gameplay totalement ouvert hérité des mythiques System Shock et Thief. Avec Viktor Antonov au poste de visual design director(la City 17 d'Half Life 2, c'est lui), sous la direction de Raphaël Colantonio (fondateur du studio) et Harvey Smith (game designer sur Deus Ex), le dernier projet des frenchies d'Arkane suscite forcément beaucoup d'espoir, tout en restant bien mystérieux. Invités dans les locaux lyonnais du talentueux studio, nous avons vu le jeu tourner : retour sur un second aperçu prometteur.
Liberté d'action dans un cadre magnifique
Avec System Shock et Thief inscrits dans son code génétique, Dishonored se présente d'abord comme un jeu d'assassinat à la première personne. Au cœur du titre, la liberté est l'obsession première du game-design: pour accomplir ses meurtres, le joueur dispose en effet d'un grand nombre d'approches à composer entre fusillade classique, escalade à la Assassin's Creed et pouvoirs « magiques » aux applications diverses - téléportation, contrôle des ennemis, mini cyclones destructeurs... Une offre complexe que la démo, pratiquée par l'un des cadres de projet, nous a permis de mieux cerner.
Contrastes visuels, densité esthétique, la patte d'Antonov affleure dès la première image : une ruelle crasse encadrée de façades oppressantes s'ouvre au loin sur un bras de rivière, dans un clair-obscur saisissant. Quelques pas suffisent à croiser des civils et soldats discutant, l'air de rien, de leur vie de famille ou de la situation politique ; sur la gauche, une rue barrée par un grand mur ravive la mémoire des portails bloqués de la Cité 17 d'Half Life 2. Tout en canalisant l'espace de jeu, elle évoque un espace sous lourd contrôle militaire ; manière élégante de transformer un artifice de level-designer en porte ouverte à l'imaginaire. « La densité de l'expérience est au cœur du projet », nous confient les développeurs ; la démo le confirme : quittant la venelle sombre, le personnage tombe sur un bel édifice de type victorien baigné de soleil, dans un complet changement d'atmosphère. Cette bâtisse, un bain public abritant un bordel, sera le décor de la mission où nos deux cibles s'encanaillent en bonne compagnie.
Thief meets Assassin's Creed
Surprise : le démonstrateur aux commandes se met alors à escalader la façade, exploitant la moindre corniche pour accéder au bâtiment par les toits ; à l'observer, les déplacements semblaient simples et naturels, le personnage sautant de rebords en fenêtres sans collision hasardeuse. Ce cheminement acrobatique était en outre l'occasion de constater le niveau de détail accordé à chaque parcelle du décor. « Tout doit être porteur de sens », commente un level-designer, « la moindre chaise, le moindre objet doit avoir une raison d'être ». L'environnement de la démo lui donnait raison, regorgeant de signes de son histoire et de sa logique architecturale : de l'escalier central on accède aux petits salons, antichambres et cuisines sans que le décor ne semble « plié » à une logique de parcours artificiel.
Sur la demi-heure de démo, la direction artistique montrait déjà des résultats surprenants. Un détour par les toits offre un point de vue magnifique sur la ville : un bateau de pêche rentre au port en teufteufant une fumée charbonneuse tandis qu'une volée d'oiseaux effarouchés décolle d'une corniche dans le ciel hivernal... autant de tableaux visuellement fastes, rendus possibles par une réalisation de premier ordre, alignant textures « peintes » et effets visuels - fumée, eau - soignés. L'animation et la modélisation des personnages respirent ce même savoir-faire artisanal : plutôt que d'épingler le réalisme en motion capture, les développeurs ont préféré l'expressivité d'une légère caricature. Les cibles porteront à ce titre leur origine noble et bourgeoise sur leur traits ; objectif avoué par les designers : les rendre délicieusement antipathiques.
Une ville segmentée en quartiers
Structurellement, le jeu ne comprendra aucune cinématique et lâchera son joueur dans les missions à l'ancienne, sans les enrober outre mesure. La progression s'articule autour d'un hub central, un quartier de la ville de Dunwall abritant le Q.G. du personnage principal. Si le gameplay libre reste au centre des attentions, l'histoire n'est pas oubliée pour autant : on apprendra dès l'entame que notre héros, ancien garde du corps d'une impératrice, est accusé à tort puis mis au rebut. Le jeu raconte sa vengeance, sous la forme de missions d'assassinat des hauts dignitaires de la ville : libre au joueur de restituer son honneur ou de s'enfoncer dans une voie de paria.
C'est l'une des promesses du titre : permettre au joueur de façonner son histoire par ses actes. Pas question de passer par des discussions, la « morale » du personnage émergera exclusivement de son comportement en mission. Passé ces considérations, le background de Dishonored reste pour l'heure bien mystérieux : son style visuel néo-rétro évoque celui de Bioshock, à mi-chemin entre uchronie et monde parallèle. Vaguement inspirée d'une Londres en pleine ère industrielle, la ville de Dunwall promet d'être un monde autarcique cohérent, hanté par la figure tutélaire et mystérieuse de l’Étranger - un personnage aux pouvoirs quasi-divins, objet de culte pour une bonne frange de la population. C'est d'ailleurs ce personnage - mi-dieu, mi-démon, selon les mots des développeurs - qui donnera au héros ses pouvoirs.
La progression elle-même se divise en missions jouées en zones ouvertes, auxquelles on accède par le quartier central : il ne s'agira pas d'un open-world à la GTA, mais d'un monde segmenté en quartiers, et autant de missions à la saveur voulue « unique ». Une fois en mission, le joueur composera son approche entre la voix la plus bourrine - zéro discrétion, fusillade à tout va - et la plus raffinée - entrer par la fenêtre, s'infiltrer dans le dos de l'ennemi, interagir avec le décor. S'il opte pour l'infiltration, il disposera, outre des mécaniques de déplacements - déplacement accroupi, sprint, escalade - de nombreux pouvoirs élargissant ses options de jeu. Architecturé pour multiplier les voies possibles, le décor de la démo promet déjà des parcours hautement modulables, pour peu que l'on investisse la verticalité des niveaux.
Un grand panel de pouvoirs
Les pouvoirs eux-même se diviseront en deux catégories. Il y aura d'abord ceux qui aident au déplacement, dont le plus remarquable, le « contrôle de l'esprit », permet d'incarner tous les êtres vivants du niveau, même les poissons et les rats - option très pratique pour s'infiltrer en douce. Autre usage possible : on pourra prendre possession de la cible pour l'isoler loin des regards témoins et l'éliminer dans un coin. Au centre des mécaniques de jeu, la combinaison des pouvoirs offrait dès la démo des séquences jouissives : par exemple, le présentateur se téléportait vers une cible de dos pour lui trancher la gorge en une fraction de seconde. Ailleurs, il sautait d'un balcon avant de se téléporter à la volée dans le corps « parachute » d'une jeune fille, évitant une mort certaine. De telles possibilités émergentes annoncent une grande ouverture du gameplay à l'inventivité du joueur, comme à la grande époque des Thief et autres Deus Ex.
Les pouvoirs offrent par ailleurs nombre d'options purement agressives : citons la possibilité d'envoyer valser les ennemis façon Fus-Ro-Dah avec une tornade, d'invoquer un bataillon de rats nécrophages - pour faire disparaitre les corps - ou d'améliorer sa puissance de feu ; de quoi laisser parler la poudre si l'envie nous en prend... d'autant que les meurtres, hyper violents, gratifient le joueur d'animations de mise à mort aussi variées qu'impressionnantes (décapitations et membres arrachés au programme, PEGI 18 assuré). Débloqués entre les missions, ces pouvoirs de combat et de mouvement pourront en outre être augmentés par des talismans cachés dans les recoins du décor : manière d'inciter à une inspection approfondie.
A quelques semaines de la phase bêta, le titre faisait déjà montre d'une belle finition : loin du capharnaüm qu'un tel gameplay ouvert peut induire, les situations restent limpides, propres et manifestement ludiques en toute circonstance. Une gageure sur un projet si ambitieux, qui semble bien parti pour réussir son pari : ressusciter les hauteurs ludiques de ses illustres références sous les traits d'un jeu moderne et visuellement flatteur. Réponse en cette fin d'année, puisque le jeu est prévu pour la rentrée prochaine.
Gros titre de l'année 2012 pour son éditeur Bethesda, Dishonored promet rien moins qu'un retour aux sources, celles d'un gameplay totalement ouvert hérité des mythiques System Shock et Thief. Avec Viktor Antonov au poste de visual design director(la City 17 d'Half Life 2, c'est lui), sous la direction de Raphaël Colantonio (fondateur du studio) et Harvey Smith (game designer sur Deus Ex), le dernier projet des frenchies d'Arkane suscite forcément beaucoup d'espoir, tout en restant bien mystérieux. Invités dans les locaux lyonnais du talentueux studio, nous avons vu le jeu tourner : retour sur un second aperçu prometteur.
Liberté d'action dans un cadre magnifique
Avec System Shock et Thief inscrits dans son code génétique, Dishonored se présente d'abord comme un jeu d'assassinat à la première personne. Au cœur du titre, la liberté est l'obsession première du game-design: pour accomplir ses meurtres, le joueur dispose en effet d'un grand nombre d'approches à composer entre fusillade classique, escalade à la Assassin's Creed et pouvoirs « magiques » aux applications diverses - téléportation, contrôle des ennemis, mini cyclones destructeurs... Une offre complexe que la démo, pratiquée par l'un des cadres de projet, nous a permis de mieux cerner.
Contrastes visuels, densité esthétique, la patte d'Antonov affleure dès la première image : une ruelle crasse encadrée de façades oppressantes s'ouvre au loin sur un bras de rivière, dans un clair-obscur saisissant. Quelques pas suffisent à croiser des civils et soldats discutant, l'air de rien, de leur vie de famille ou de la situation politique ; sur la gauche, une rue barrée par un grand mur ravive la mémoire des portails bloqués de la Cité 17 d'Half Life 2. Tout en canalisant l'espace de jeu, elle évoque un espace sous lourd contrôle militaire ; manière élégante de transformer un artifice de level-designer en porte ouverte à l'imaginaire. « La densité de l'expérience est au cœur du projet », nous confient les développeurs ; la démo le confirme : quittant la venelle sombre, le personnage tombe sur un bel édifice de type victorien baigné de soleil, dans un complet changement d'atmosphère. Cette bâtisse, un bain public abritant un bordel, sera le décor de la mission où nos deux cibles s'encanaillent en bonne compagnie.
Thief meets Assassin's Creed
Surprise : le démonstrateur aux commandes se met alors à escalader la façade, exploitant la moindre corniche pour accéder au bâtiment par les toits ; à l'observer, les déplacements semblaient simples et naturels, le personnage sautant de rebords en fenêtres sans collision hasardeuse. Ce cheminement acrobatique était en outre l'occasion de constater le niveau de détail accordé à chaque parcelle du décor. « Tout doit être porteur de sens », commente un level-designer, « la moindre chaise, le moindre objet doit avoir une raison d'être ». L'environnement de la démo lui donnait raison, regorgeant de signes de son histoire et de sa logique architecturale : de l'escalier central on accède aux petits salons, antichambres et cuisines sans que le décor ne semble « plié » à une logique de parcours artificiel.
Sur la demi-heure de démo, la direction artistique montrait déjà des résultats surprenants. Un détour par les toits offre un point de vue magnifique sur la ville : un bateau de pêche rentre au port en teufteufant une fumée charbonneuse tandis qu'une volée d'oiseaux effarouchés décolle d'une corniche dans le ciel hivernal... autant de tableaux visuellement fastes, rendus possibles par une réalisation de premier ordre, alignant textures « peintes » et effets visuels - fumée, eau - soignés. L'animation et la modélisation des personnages respirent ce même savoir-faire artisanal : plutôt que d'épingler le réalisme en motion capture, les développeurs ont préféré l'expressivité d'une légère caricature. Les cibles porteront à ce titre leur origine noble et bourgeoise sur leur traits ; objectif avoué par les designers : les rendre délicieusement antipathiques.
Une ville segmentée en quartiers
Structurellement, le jeu ne comprendra aucune cinématique et lâchera son joueur dans les missions à l'ancienne, sans les enrober outre mesure. La progression s'articule autour d'un hub central, un quartier de la ville de Dunwall abritant le Q.G. du personnage principal. Si le gameplay libre reste au centre des attentions, l'histoire n'est pas oubliée pour autant : on apprendra dès l'entame que notre héros, ancien garde du corps d'une impératrice, est accusé à tort puis mis au rebut. Le jeu raconte sa vengeance, sous la forme de missions d'assassinat des hauts dignitaires de la ville : libre au joueur de restituer son honneur ou de s'enfoncer dans une voie de paria.
C'est l'une des promesses du titre : permettre au joueur de façonner son histoire par ses actes. Pas question de passer par des discussions, la « morale » du personnage émergera exclusivement de son comportement en mission. Passé ces considérations, le background de Dishonored reste pour l'heure bien mystérieux : son style visuel néo-rétro évoque celui de Bioshock, à mi-chemin entre uchronie et monde parallèle. Vaguement inspirée d'une Londres en pleine ère industrielle, la ville de Dunwall promet d'être un monde autarcique cohérent, hanté par la figure tutélaire et mystérieuse de l’Étranger - un personnage aux pouvoirs quasi-divins, objet de culte pour une bonne frange de la population. C'est d'ailleurs ce personnage - mi-dieu, mi-démon, selon les mots des développeurs - qui donnera au héros ses pouvoirs.
La progression elle-même se divise en missions jouées en zones ouvertes, auxquelles on accède par le quartier central : il ne s'agira pas d'un open-world à la GTA, mais d'un monde segmenté en quartiers, et autant de missions à la saveur voulue « unique ». Une fois en mission, le joueur composera son approche entre la voix la plus bourrine - zéro discrétion, fusillade à tout va - et la plus raffinée - entrer par la fenêtre, s'infiltrer dans le dos de l'ennemi, interagir avec le décor. S'il opte pour l'infiltration, il disposera, outre des mécaniques de déplacements - déplacement accroupi, sprint, escalade - de nombreux pouvoirs élargissant ses options de jeu. Architecturé pour multiplier les voies possibles, le décor de la démo promet déjà des parcours hautement modulables, pour peu que l'on investisse la verticalité des niveaux.
Un grand panel de pouvoirs
Les pouvoirs eux-même se diviseront en deux catégories. Il y aura d'abord ceux qui aident au déplacement, dont le plus remarquable, le « contrôle de l'esprit », permet d'incarner tous les êtres vivants du niveau, même les poissons et les rats - option très pratique pour s'infiltrer en douce. Autre usage possible : on pourra prendre possession de la cible pour l'isoler loin des regards témoins et l'éliminer dans un coin. Au centre des mécaniques de jeu, la combinaison des pouvoirs offrait dès la démo des séquences jouissives : par exemple, le présentateur se téléportait vers une cible de dos pour lui trancher la gorge en une fraction de seconde. Ailleurs, il sautait d'un balcon avant de se téléporter à la volée dans le corps « parachute » d'une jeune fille, évitant une mort certaine. De telles possibilités émergentes annoncent une grande ouverture du gameplay à l'inventivité du joueur, comme à la grande époque des Thief et autres Deus Ex.
Les pouvoirs offrent par ailleurs nombre d'options purement agressives : citons la possibilité d'envoyer valser les ennemis façon Fus-Ro-Dah avec une tornade, d'invoquer un bataillon de rats nécrophages - pour faire disparaitre les corps - ou d'améliorer sa puissance de feu ; de quoi laisser parler la poudre si l'envie nous en prend... d'autant que les meurtres, hyper violents, gratifient le joueur d'animations de mise à mort aussi variées qu'impressionnantes (décapitations et membres arrachés au programme, PEGI 18 assuré). Débloqués entre les missions, ces pouvoirs de combat et de mouvement pourront en outre être augmentés par des talismans cachés dans les recoins du décor : manière d'inciter à une inspection approfondie.
A quelques semaines de la phase bêta, le titre faisait déjà montre d'une belle finition : loin du capharnaüm qu'un tel gameplay ouvert peut induire, les situations restent limpides, propres et manifestement ludiques en toute circonstance. Une gageure sur un projet si ambitieux, qui semble bien parti pour réussir son pari : ressusciter les hauteurs ludiques de ses illustres références sous les traits d'un jeu moderne et visuellement flatteur. Réponse en cette fin d'année, puisque le jeu est prévu pour la rentrée prochaine.
Impression vidéo encourageante de Gamekult
Le site officiel disponible en cliquant ici !
Les scans en grands disponibles en suivant ce lien
Edité le 08/04/2012 à 01:07
Modérateur Actu
Sauvegarde...
Un petit aperçu de Jeuxvidéo.com
Cela fait déjà presque un an qu’on vous a parlé de cette ambitieuse production française. Suite à la présentation récente d’une nouvelle démo du jeu, on peut vous assurer que les espoirs placés dans cette nouvelle licence vont être largement récompensés !
Dishonored est développé par le studio français Arkane (Arx Fatalis, Dark Messiah of Might & Magic) et bénéficie du savoir-faire des directeurs artistiques Sebastien Mitton et Viktor Antonov. Ce dernier a acquis une jolie renommée grâce à ses travaux, notamment sur l’aspect visuel de Half-Life 2. Pas étonnant donc de retrouver ici un univers steampunk au croisement de jeux ou longs-métrages comme Bioshock, Blade Runner et Metropolis. Il aura fallu d’ailleurs quasiment trois ans de pré-production et une quantité astronomique de dessins et photographies pour créer cet univers dans lequel la cité de Dunwall est le théâtre principal des évènements. Cette allégorie des villes de Londres et Edimbourg paraît à la fois dater des années 40 et issue d’un passé alternatif rétrofuturiste. Ici, l’huile de baleine représente l’énergie de base et une étrange peste sévit en faisant de plus en plus de victimes…
Contrairement à ce que pourrait laisser entendre certains aspects de la bande-annonce révélée récemment (look du héros, furtivité sur les toits…), le jeu, dans les faits, ne présente aucun point commun avec la série des Assassin’s Creed. Certes, vous incarnez un tueur professionnel (Corvo), encapuchonné par moments, mais cette aventure à la première personne ne partage pas du tout le même univers, possède son propre style visuel très affirmé et offre même davantage de profondeur en termes de gameplay. D’ailleurs, les développeurs précisent que plus Corvo tue de personnes et plus l’environnement change : la peste semble ainsi se répandre davantage, la présence des rats augmente et les gens alentour se comportent différemment. Grosso modo, vos actions conditionnent directement le scénario. Par exemple, quand vous choisissez de sauver un personnage durant une mission, celui-ci peut intervenir à nouveau dans l’histoire et vous aider quelques niveaux plus tard. De même, il est possible de commencer les niveaux à plusieurs endroits différents (rue, toit, souterrain…), selon la manière dont vous avez joué auparavant et les choix effectués, comme parler à un personnage particulier…
De nouvelles explications ont été fournies quant aux pouvoirs, armes et jauges de couleur bleu et rouge qui sont affichés sur l’écran en haut à gauche. Ainsi, ces dernières représentent respectivement la magie et la vie de Corvo. Dans l’histoire, on trouve d’ailleurs deux personnages de savants, Sokolov et Piero (inspirés plus ou moins par les figures de Tesla et Raspoutine), qui aident indirectement le joueur en lui fournissant des recharges de magie et de vie. Ces dernières prennent la forme d’élixirs à collecter un peu partout dans les niveaux. Idem pour les runes ? des pouvoirs passifs appelés Bone Charms ? qui sont disséminées dans les décors. Celles-ci permettent de booster temporairement certains pouvoirs « actifs ». Exemple : un Bone Charm de couleur blanche offre de prendre possession d’un animal deux fois plus longtemps. Quant aux pouvoirs « actifs », on en totalise une douzaine à débloquer progressivement et accessible via une roue qui s’affiche en surimpression lorsqu’on presse une touche. Parmi les plus notables : Devouring Swarm (une flopée de rats se rue sur l’ennemi), Bend Time (le temps est momentanément suspendu pour les adversaires), Windblast (un puissant coup de vent qui repousse les belligérants), Possession (on se glisse dans le corps d’un animal ou ennemi afin d’en prendre le contrôle), Dark Vision (on voit à travers les murs les contours énergétiques des personnages) ou encore Blink (téléportation ? qui ne consomme pas de magie ? à l’endroit que l’on pointe à l’aide d’une mire). Enfin, du point de vue des armes, le joueur peut compter sur une dizaine pour lesquelles il est possible d’acheter des upgrades : revolver, poignard, arbalète (avec divers types de carreaux, dont certains soporifiques) ou encore piège au sol à base de rasoirs et barbelés qui déchirent l’ennemi. A noter enfin que chaque main est gérée individuellement, ce qui permet des combinaisons très intéressantes…
Esthétiquement, le jeu s’est considérablement amélioré en une dizaine de mois. Ainsi, les graphismes s’avèrent beaucoup plus fins et détaillés et le travail sur la lumière se révèle assez bluffant. Preuve est faite grâce à la mission présentée se déroulant dans une maison close (The Golden Cat Bath House) richement décorée à l’aide de draperies et tableaux. Le but est ici d’assassiner les deux frères jumeaux Pendleton, de petits aristocrates avides de sensations fortes en compagnie de jolies péripatéticiennes. Bonne nouvelle - et c’est un des points forts de Dishonored : il y a toujours plusieurs manières d’accomplir une mission. Les développeurs, qui précisent qu’il est possible de terminer le jeu sans jamais tuer quelqu’un excepté les cibles indiquées dans le scénario, ont ainsi mis un point d’honneur à en montrer deux : une méthode furtive et une méthode brutale. D’abord la manière douce : vous pouvez ainsi pénétrer dans la bâtisse de cinq ou six façons différentes, par exemple en évoluant sur les toits et en passant par une fenêtre ou en prenant possession d’un rat puis en s’infiltrant dans un égout. Dans ce dernier cas, gare à ne pas vous faire écraser d’un coup de pied par une des occupantes des lieux car ce serait irrémédiablement un game over. Une fois sorti du corps de l’animal, il faut alors se faufiler discrètement dans les couloirs et se débarrasser rapidement de quelques gardes (en pressant une touche, on saisit l’ennemi par derrière puis en maintenant quelques secondes le bouton qui s’affiche à l’écran, on le met K.O.). Libre à vous ensuite de porter le corps de ceux-ci et de les cacher à la vue des autres ennemis. On peut par exemple ouvrir une fenêtre et les balancer dans le vide. Ensuite, en alternant déplacements furtifs et téléportations, Corvo est capable de parvenir devant la porte fermée à clé derrière laquelle se trouve le premier jumeau Pendleton. Il est alors possible de passer dans la pièce juste à côté puis de récupérer une valve et la placer au bon endroit. Le but : déclencher une arrivée de vapeurs mortelles dans la salle où se trouve la cible qui décède alors quasi instantanément. Une autre manière de lui régler son compte est de regarder par le trou de la serrure et pénétrer dans la pièce en s’infiltrant dans le corps du poisson de l’aquarium. Une fois à l’intérieur, il est alors facile de sortir discrètement du corps de l'animal pour briser la nuque de la cible. Pour le second jumeau, situé à quelques étages de là, c’est encore plus simple : une méthode expéditive et assez vicieuse consiste ainsi à le rejoindre discrètement pour prendre possession de son corps, puis à le contrôler pour qu’il aille sur le balcon, ensuite de sortir de son corps et enfin de le pousser tout simplement dans le vide !
Décapitations et jets multiples de sang s’avèrent au programme de la méthode « bourrine » pour accomplir cette même mission. La manière de jouer est ici on ne peut plus simple : on peut choisir de tuer tout le monde ! A l’aide d’une épée mais aussi d’un gros revolver et de quelques grenades (idéales pour exploser les portes derrière lesquelles se cachent les Pendleton), inutile de préciser que le carnage est aussi total que jouissif. Embrocher les ennemis, leur trancher la gorge, les défenestrer ou encore les exploser « littéralement » : voilà tout ce que le joueur est capable de faire. Gare néanmoins à ne pas surestimer vos forces car, mine de rien et malgré votre quasi-omnipotence, certains adversaires s’avèrent particulièrement coriaces. Heureusement, il est possible de combiner vos pouvoirs à l’envi, comme faire un double-saut suivi d’une téléportation pour aller encore plus loin. Ou encore arrêter le temps au moment où un ennemi vous tire dessus, puis prendre possession de son corps et le placer devant sa propre balle. Jouissif ! Au final, Dishonored semble promettre une aventure exceptionnelle qui bénéficie d’un univers étonnant et de partis pris courageux, comme une esthétique très originale ou encore l’absence de multi pour mieux se focaliser sur l’expérience en solo...
Conclusion
Au milieu de ce manque de créativité galopant, de cette absence de courage de la part d’éditeurs produisant des suites à rallonge, des reboots sans âme ou d’insupportables DLC, il est nécessaire de saluer la volonté de Bethesda et d’Arkane de lancer une licence flambant neuve et de créer de toutes pièces un univers inédit. Et à la vue de cette nouvelle démo très réussie, autant esthétiquement qu’au niveau des possibilités variées de son gameplay, on ne peut qu’applaudir à tout rompre cette entreprise vidéoludique. Réalisé de manière quasi artisanale (de nombreuses textures ont été par exemple peintes à la main), Dishonored constitue à coup sûr la surprise vidéoludique de l’année… A suivre de très près !
Edité le 27/04/2012 à 17:45
Modérateur Actu
Sauvegarde...
Plus que ça...une futur bombe de l'année oui ! Pour moi ce sera day one certainement, devant tous les autres...j'ai décidé de récompenser les risques, celui là et The Last Of Us (si il sort cette année) passeront en prio !
Modérateur Actu
Sauvegarde...
Une date de sortie ?
En effet, le titre du studio Arkane et de Bethesada à savoir Dishonored aurait déjà une date de sortie ! Ce sont les deux célèbres revendeurs canadiens Future Shop et Best Buy qui annoncent depuis hier une date de sortie pour le 25 septembre prochain. Fuite ou fake ? Bethesda devrait très certainement communiqué dans les jours à venir ou au plus tard à l’E3 2012.
Source
Edité le 30/04/2012 à 13:34
Modérateur Actu
Sauvegarde...
Une interview de 20 minutes !
Comme promis, voici notre interview vidéo de Sébastien Mitton (Directeur Artistique), Raphael Colantonio (Co-Directeur Créatif) et Viktor Antonov (Directeur de Design Visuel) au sujet de leur travail sur Dishonored. Le titre d'Arkane Studio, co-designé par Harvey Smith (Deus Ex), nous a charmés dès les premiers éléments connus, et depuis déjà un an, il nous tarde de mettre la main dessus.
INTERVIEW VIDEO
Pour ceux qui l'aurait raté, notre article d'impressions complètes sur Dishonored, paru la semaine passée, est bien entendu toujours en ligne. Mais revenons à cette interview : on y parlera d'Arkane, des défis de la production à cheval sur deux continents (Europe et Etat-Unis), et bien entendu du jeu, de la philosophie qui l'anime, de ses particularités, et de certains de ses détails... Et, oh, j'ai failli oublier : oui, il y a des images extraites du jeu dedans, bien sûr !
Excellent visionnage !
Source
Edité le 30/04/2012 à 15:27
Modérateur Actu
Sauvegarde...
Dishonored : La date de sortie
Bethesda Softworks a confirmé que Dishonored, le jeu d’action mettant en scène un assassin aux pouvoirs surnaturels, en cours de développement chez Arkane Studios, sera disponible le 12 octobre 2012 dans l’ensemble de l’Europe.
Conçu sous la houlette des directeurs de création Raphael Colantonio et Harvey Smith, Dishonored a pour toile de fond Dunwall, une ville industrielle de chasseurs de baleines où coexistent d’étranges technologies et un mysticisme transcendantal. Accusé à tort de l’assassinat de l’Impératrice, dont il était le fidèle garde du corps, le héros devient un assassin redouté de tous qui se cache derrière son masque sinistre.
Dans Dishonored, les joueurs pourront priviligier les techniques de combat qu’ils affectionnent : attaque au corps à corps en vue subjective, tir ou utilisation de pouvoirs surnaturels. Les missions changeront en fonction de l’approche choisie et toute décision aura un impact sur la suite de l’aventure et l’univers ouvert de Dunwall, imaginé par Viktor Antonov, directeur artistique de Half-Life 2 et président de Bethesda Softworks.
A l’occasion de l’annonce de cette date de sortie, Vlatko Andonov a glissé un petit mot à l’attention des joueurs : »Nous nous félicitons d’avoir suscité l’intérêt des joueurs avec Dishonored. Nous avons hâte de vous en dire plus sur le jeu d’ici sa sortie, en octobre, et de vous en présenter une version jouable dans notre stand de l’E3 ! ». En attendant d’en voir et d’en savoir plus, nous vous invitons à visionner la première bande-annonce officielle du jeu
Bande annonce
Lighting Gamer
Edité le 15/05/2012 à 19:48
Modérateur PS4
Sauvegarde...
Animations et illustrations avant la vidéo de gameplay de l'E3
Comme beaucoup, Dishonored sera présenté à l'E3 2012 de Los Angeles de nombreux mois avant sa sortie du 12 octobre. Comme nous venons de l'apprendre, le titre n'attendra pas le salon du jeu vidéo nord-américain pour se montrer, une première bande-annonce principalement composée de séquences de jeu devant être dévoilée la semaine prochaine, dans la nuit du 31 mai au 1er juin sur GTTV. À cette occasion, nous découvrirons donc les premières techniques de meurtre élaborées par Corvo, l'ancien garde privé de l'Impératrice qui doit lever la conspiration qui l'accuse d'avoir tué cette dernière.
En amont de la révélation de cette vidéo, Arkane nous invite à découvrir, par le biais d'une page spéciale, trois scènes animées qui nous montrent quelques effets utilisés pour renforcer l'ambiance, qu'il s'agisse d'effets de lumière ou d'animations de personnages secondaires. Des illustrations allant de visages défigurés aux emblèmes de bars sont également visibles.
PS3GEN.fr
Edité le 28/05/2012 à 12:21
Modérateur Actu
Sauvegarde...
Dishonored : La mort prend place en vidéo - E3 2012
Maman, elle fait peur la petite fille !
Dishonored… un titre qui résonne dans l’obscurité, mais qui se dévoilera au grand jour d’ici quelques jours. En attendant l’E3 2012, Gametrailers nous suggère une nouvelle vidéo mettant en scène plusieurs meurtres... La mort domine les lieux... le sang coule dans les rues... cette nouvelle production a de quoi nous charmer avec son univers glauque et macabre.
Visuellement, le titre parait propre et plutôt bien réalisé. Reste à savoir ce que vaut le gameplay ! Mais ça pour le savoir, notre équipe sur place fera de son mieux pour vous donner rapidement ses premières impressions. En attendant, il faut se contenter de cette courte bande-annonce pour se donner une idée de la bête. N'oublions pas que Dishonored est prévu sur PlayStation 3 et Xbox 360 le 12 octobre prochain.
Source : ps3gen.fr
Maman, elle fait peur la petite fille !
Dishonored… un titre qui résonne dans l’obscurité, mais qui se dévoilera au grand jour d’ici quelques jours. En attendant l’E3 2012, Gametrailers nous suggère une nouvelle vidéo mettant en scène plusieurs meurtres... La mort domine les lieux... le sang coule dans les rues... cette nouvelle production a de quoi nous charmer avec son univers glauque et macabre.
Visuellement, le titre parait propre et plutôt bien réalisé. Reste à savoir ce que vaut le gameplay ! Mais ça pour le savoir, notre équipe sur place fera de son mieux pour vous donner rapidement ses premières impressions. En attendant, il faut se contenter de cette courte bande-annonce pour se donner une idée de la bête. N'oublions pas que Dishonored est prévu sur PlayStation 3 et Xbox 360 le 12 octobre prochain.
Source : ps3gen.fr
Mes jeux du moment :
Assassin's Creed 4 : Black Flag, Beyond : Two Souls, Kingdom Hearts HD 1.5 ReMIX
Assassin's Creed 4 : Black Flag, Beyond : Two Souls, Kingdom Hearts HD 1.5 ReMIX
Sauvegarde...
Dishonored : Les bonus de précommande dévoilés
La communication autour de Dishonored n'en peut plus de nous faire baver. Après le zoli trailer d'hier, vous pouvez trouver aujourd'hui, sur le blog de Bethesda, les bonus sur lesquels les Américains pourront poser leurs pognes graissées au Burger King pour une précommande.
- Chez GameStop, le pack téléchargeable Arcane Assassin et des cartes de tarot Dishonored
- Chez Best Buy, le pack téléchargeable Shadow Rat et une lampe à l'huile de baleine USB (interprétez ça comme vous voulez)
- Chez Amazon, le pack téléchargeable Backstreet Butcher
- Chez Wallmart, le pack téléchargeable Acrobatic Assassin
- Chez Target, une décalco Dishonored pour smartphone. Heu... quoi ?
Les photos sur le blog vous donneront les détails des packs bonus, entre nouveaux charmes, augmentation de dégâts et résistances. Sauf chez Target qui écope d'un autocollant de luxe. On se remettra si on le voit pas en France, du coup.
Source : gamers.fr
La communication autour de Dishonored n'en peut plus de nous faire baver. Après le zoli trailer d'hier, vous pouvez trouver aujourd'hui, sur le blog de Bethesda, les bonus sur lesquels les Américains pourront poser leurs pognes graissées au Burger King pour une précommande.
- Chez GameStop, le pack téléchargeable Arcane Assassin et des cartes de tarot Dishonored
- Chez Best Buy, le pack téléchargeable Shadow Rat et une lampe à l'huile de baleine USB (interprétez ça comme vous voulez)
- Chez Amazon, le pack téléchargeable Backstreet Butcher
- Chez Wallmart, le pack téléchargeable Acrobatic Assassin
- Chez Target, une décalco Dishonored pour smartphone. Heu... quoi ?
Les photos sur le blog vous donneront les détails des packs bonus, entre nouveaux charmes, augmentation de dégâts et résistances. Sauf chez Target qui écope d'un autocollant de luxe. On se remettra si on le voit pas en France, du coup.
Source : gamers.fr
Mes jeux du moment :
Assassin's Creed 4 : Black Flag, Beyond : Two Souls, Kingdom Hearts HD 1.5 ReMIX
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Sauvegarde...
Dishonored : Sème la panique à Los Angeles en images - E3 2012
Dishonored, qui n'en finit plus de créer le buzz à chacune de ses sorties médiatiques, revient aujourd'hui avec une nouvelle série d'images.
Ces visuels nous invitent à découvrir une fois de plus l'environnement dans lequel nous évoluerons et nous rappellent que nous pourrons aussi bien combattre à main nue, avec une arme ou encore en utilisant des capacités magiques.
Source : play3-live.com
Dishonored, qui n'en finit plus de créer le buzz à chacune de ses sorties médiatiques, revient aujourd'hui avec une nouvelle série d'images.
Ces visuels nous invitent à découvrir une fois de plus l'environnement dans lequel nous évoluerons et nous rappellent que nous pourrons aussi bien combattre à main nue, avec une arme ou encore en utilisant des capacités magiques.
Source : play3-live.com
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Sauvegarde...
Dishonored : Prend la pose
Le monde de Dishonored focalise l'imagination la plus folle des joueurs après les différents screenshots et trailers diffusés par Bethesda. Histoire de donner l'eau à la bouche, voici aujourd'hui cinq nouvelles images issues du célèbre artiste Duncan Harris, passé expert dans l'art de la photographie in-game. Si vous trouvez ce qu'il se trouve en haut de ce mystérieux escalier en colimaçon, faites-le nous savoir...
En outre, Bethesda a également publié deux superbes wallpapers de Dishonored qui sont visibles ci-dessus. L'occasion de vous rappeler l'ouverture de la section Wallpapers sur Play3-live, avec la possibilité pour les membres de télécharger, mais aussi d'ajouter les fonds d'écran que vous souhaitez.
Dishonored : Évènement à la FNAC Saint-Lazare
La FNAC a le plaisir d'annoncer qu'elle tiendra une exposition sur le très attendu Dishonored dans sa boutique de Saint Lazare du 26 juin au 14 juillet prochain.
Cet évènement gratuit et ouvert au public présentera différentes peintures artistiques créées par Viktor Antonov de Zenimax et Sébastien Mitton d'Arkane Studios. Si vous souhaitez tout savoir sur les origines de la création du monde de Dishonored, cet endroit est fait pour vous !
Source : play3-live.com
PS : Je serai au rendez-vous pour participer à cette évènement.
Edité le 16/06/2012 à 00:50
Le monde de Dishonored focalise l'imagination la plus folle des joueurs après les différents screenshots et trailers diffusés par Bethesda. Histoire de donner l'eau à la bouche, voici aujourd'hui cinq nouvelles images issues du célèbre artiste Duncan Harris, passé expert dans l'art de la photographie in-game. Si vous trouvez ce qu'il se trouve en haut de ce mystérieux escalier en colimaçon, faites-le nous savoir...
En outre, Bethesda a également publié deux superbes wallpapers de Dishonored qui sont visibles ci-dessus. L'occasion de vous rappeler l'ouverture de la section Wallpapers sur Play3-live, avec la possibilité pour les membres de télécharger, mais aussi d'ajouter les fonds d'écran que vous souhaitez.
Dishonored : Évènement à la FNAC Saint-Lazare
La FNAC a le plaisir d'annoncer qu'elle tiendra une exposition sur le très attendu Dishonored dans sa boutique de Saint Lazare du 26 juin au 14 juillet prochain.
Cet évènement gratuit et ouvert au public présentera différentes peintures artistiques créées par Viktor Antonov de Zenimax et Sébastien Mitton d'Arkane Studios. Si vous souhaitez tout savoir sur les origines de la création du monde de Dishonored, cet endroit est fait pour vous !
Source : play3-live.com
PS : Je serai au rendez-vous pour participer à cette évènement.
Edité le 16/06/2012 à 00:50
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Sauvegarde...
Dishonored : Une durée de vie faramineuse !
Dishonored, le prochain FPS d'infiltration des développeurs français d'Arkane Studios se précise par le biais de questions posées par les joueurs sur le blog officiel du jeu. Et l'une d'entre elles concerne la durée de vie du titre.
"Les joueurs les plus directs mettront entre 12 à 14 heures pour terminer le jeu. Les explorateurs en herbe qui aiment errer mettront deux fois plus de temps."
Un temps important qui permettra donc de maîtriser à la perfection les principaux pouvoirs, armes, gadgets et autres améliorations que proposera Dishonored. Pour mémoire, la sortie du jeu est prévue pour le 9 octobre prochain sur PlayStation 3, Xbox 360 et PC.
Source : jeuxactu.com
Dishonored, le prochain FPS d'infiltration des développeurs français d'Arkane Studios se précise par le biais de questions posées par les joueurs sur le blog officiel du jeu. Et l'une d'entre elles concerne la durée de vie du titre.
"Les joueurs les plus directs mettront entre 12 à 14 heures pour terminer le jeu. Les explorateurs en herbe qui aiment errer mettront deux fois plus de temps."
Un temps important qui permettra donc de maîtriser à la perfection les principaux pouvoirs, armes, gadgets et autres améliorations que proposera Dishonored. Pour mémoire, la sortie du jeu est prévue pour le 9 octobre prochain sur PlayStation 3, Xbox 360 et PC.
Source : jeuxactu.com
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Sauvegarde...
La seconde image va vite se transformer en fond d'écran Quant à la durée de vie du titre, c'est indéniable si ça se vérifie, ce jeu va faire mal !
Modérateur Actu
Sauvegarde...
Effectivement, très classe, tout à fait dans mon genre, sombre à souhait
Modérateur PS4
Sauvegarde...
@ Sweeney Todd :
Je te donnerai mon avis sur le jeu Dishonored durant l'évènement FNAC à Saint-Lazare. Peut-être avec des photos.
Je te donnerai mon avis sur le jeu Dishonored durant l'évènement FNAC à Saint-Lazare. Peut-être avec des photos.
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Le test
Les +
- Level design de malade
- Esthétique et univers léchés
- Infiltration passionnante ou action débridée
- De vrais choix
- Progression parfaitement dosée
- Quête annexe géniale
- Excellente rejouabilité
Les -
- Techniquement perfectible (surtout sur consoles)
- Quelques incohérences d'IA
- Scénario prévisible / fin expédiée
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Les avis des internautes
1 BONNE RAISON D'Y JOUER
L'avis de : Warlow
Très bon
To kill or not to kill
Que dire de plus que ma claque de l'année !
Un univers dans lequel on arrive et dont on arrive plus à en ressortir .
L'intrigue est vraiment génialissime et Corvo , le personnage principale est vraiment charismatique. Chaque personnage possède sa petite identité .
De plus la direction artistique est vraiment superbe très proche de bioshock au niveau du design des pers
suite ... onnages mais le côté steampunk 2eme révolution industrielle est vraiment sympa avec de très bonnes idées comme les tall boys ou le système d'huile de baleine. J'ai terminé l'histoire en 15h en difficile en essayant de tuer personnes (j'ai raté la main propre parce que j'ai buté 5 mec au début T_T ) , donc on peut dire que la durée de vie est pas mal vu que le potentiel de rejouabilité est plutôt élevé ! Et il l'est grâce notamment au level design léché permettant beaucoup d'approche différentes soit en passant en plein milieu en tuant tout le monde ou alors en évitant de se faire repérer en passant par les canalisations ou les bouches de ventilations grâce à l'efficacité du blink .
Le seul défaut que je pourrais attribuer à ce jeu est sa carence technique notamment à cause des textures qui paraissent vraiment moche de près ce qui n'est pas très agréable pour un jeu de 2012 mais on l'oubli rapidement tellement la direction artistique est bonne.
Bref comme disait hamlet : to kill or not to kill ? That's the question .
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