Musclez votre poignet avec Track & Field
Après avoir sévi dans les salles d’arcade, puis sur différents types de supports (MSX, Amstrad CPC, ZX Spectrum, etc.), et tout récemment sur le Xbox Live Arcade, la série des Track & Field revient sur Nintendo DS, l'occasion pour elle de fêter son vingt-cinquième anniversaire. Toujours proposé par Konami, mais développé par Sumo Digital, New International Track & Field va une fois de plus mettre vos nerfs à rude épreuve.
Proposant différents modes de jeu, multijoueurs ou non (Mode Carrière : passage obligé pour débloquer costumes, défis, et personnages cachés, Mode Défi, Epreuve Simple, etc.), New International Track & Field intègre, comme ses illustres prédécesseurs, un certain nombre d’épreuves (24 au total dont le 100 m, le saut en longueur, le lancer du javelot, l’épaulé-jeté, le 100 m dos crawlé, le plongeon de haut vol, le tir à l’arc, l’aviron, etc.) au cours desquelles nous allons devoir manier le stylet avec une certaine dextérité. Ainsi, Pour le 100 m, il suffit d’aller et venir avec le stylet, de droite à gauche, pour faire avancer, le plus vite possible, le sportif qui nous accompagne (huit dès le départ avec chacun des caractéristiques propres, et dix personnages bonus). Pour le plongeon de haut vol, en revanche, il faut avant tout essayer de se maintenir en équilibre, en effectuant des mouvements circulaires avec le stylet, avant de lancer le plongeon en pointant une cible sur l’écran tactile ou en appuyant sur un bouton (Haut de la croix directionnelle ou X), et d’enchaîner les rotations, toujours avec le stylet. Enfin, pour l’aviron, nous devons alterner, toujours en effectuant des rotations avec le stylet, entre des phases au rythme imposé, et des phases de sprint.
Cela semble simple comme ça, mais tout faire au stylet est parfois impossible. En effet, l’alternance entre les va-et-vient pénibles (à cause de l’amplitude demandée et le fait de devoir toucher les pointes des flèches pour maximiser la vitesse) et la phase d’action (saut, passage de haies, lancer du javelot, etc.), peut s’avérer fatale pour notre vitesse de course. Il vaut donc mieux, dans ce cas, opter pour les boutons afin d’éviter de courir à la catastrophe, et ainsi heurter une haie ou marcher sur la planche. Concentrés sur l’écran du bas (écran où se font toutes les manipulations), nous en oublions presque de jeter un œil sur l’écran du haut.
D’assez bonne qualité, à condition de faire abstraction de la pauvreté des environnements et d’une bande-son désagréable pour les oreilles, la réalisation de l’ensemble est tout de même loin d’égaler celle d’un Mario & Sonic Aux Jeux Olympiques, pour ne pas le citer. Tout de même visuellement attrayant et haut en couleurs, le titre de Konami nous propose de prendre les commandes de sportifs au look très cartoon, pouvant être amené à porter des costumes loufoques (sept par personnages : Rue pour Ashley, Cuir ou Bubble-Gum pour Kiko, Ours pour Helga, etc.). Bien moins dynamique également, le titre de Konami n’en reste pas moins agréable à jouer dès lors qu’on décide de défier quelques amis (une seule cartouche, une cartouche par console, jusqu’à quatre joueurs), voire quelques joueurs du monde entier (en ligne jusqu’à quatre joueurs). Quoi de mieux pour faire tomber tous les records du Monde ?
Tout en proposant de nombreux bonus à débloquer (costumes, personnages, défis) une vingtaine d’épreuves différentes, et malgré une réalisation en deçà de celle proposée par Mario & Sonic Aux Jeux Olympiques, New International Track & Field risque bien de vous faire passer un certain nombre d’heures devant votre console, à condition que vous puissiez la poser sur une table, par exemple, que vous ne soyez pas envahi par la peur de rayer votre écran tactile, ou stopper net par quelques épreuves mal calibrées. Trop vite rébarbatif seul, le titre de Konami n’en reste pas moins agréable à plusieurs.
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Apprenez à rayer votre écran tactile en rythme
Proposant différents modes de jeu, multijoueurs ou non (Mode Carrière : passage obligé pour débloquer costumes, défis, et personnages cachés, Mode Défi, Epreuve Simple, etc.), New International Track & Field intègre, comme ses illustres prédécesseurs, un certain nombre d’épreuves (24 au total dont le 100 m, le saut en longueur, le lancer du javelot, l’épaulé-jeté, le 100 m dos crawlé, le plongeon de haut vol, le tir à l’arc, l’aviron, etc.) au cours desquelles nous allons devoir manier le stylet avec une certaine dextérité. Ainsi, Pour le 100 m, il suffit d’aller et venir avec le stylet, de droite à gauche, pour faire avancer, le plus vite possible, le sportif qui nous accompagne (huit dès le départ avec chacun des caractéristiques propres, et dix personnages bonus). Pour le plongeon de haut vol, en revanche, il faut avant tout essayer de se maintenir en équilibre, en effectuant des mouvements circulaires avec le stylet, avant de lancer le plongeon en pointant une cible sur l’écran tactile ou en appuyant sur un bouton (Haut de la croix directionnelle ou X), et d’enchaîner les rotations, toujours avec le stylet. Enfin, pour l’aviron, nous devons alterner, toujours en effectuant des rotations avec le stylet, entre des phases au rythme imposé, et des phases de sprint.
Cela semble simple comme ça, mais tout faire au stylet est parfois impossible. En effet, l’alternance entre les va-et-vient pénibles (à cause de l’amplitude demandée et le fait de devoir toucher les pointes des flèches pour maximiser la vitesse) et la phase d’action (saut, passage de haies, lancer du javelot, etc.), peut s’avérer fatale pour notre vitesse de course. Il vaut donc mieux, dans ce cas, opter pour les boutons afin d’éviter de courir à la catastrophe, et ainsi heurter une haie ou marcher sur la planche. Concentrés sur l’écran du bas (écran où se font toutes les manipulations), nous en oublions presque de jeter un œil sur l’écran du haut.
Plus rapide que moi tu meurs !
D’assez bonne qualité, à condition de faire abstraction de la pauvreté des environnements et d’une bande-son désagréable pour les oreilles, la réalisation de l’ensemble est tout de même loin d’égaler celle d’un Mario & Sonic Aux Jeux Olympiques, pour ne pas le citer. Tout de même visuellement attrayant et haut en couleurs, le titre de Konami nous propose de prendre les commandes de sportifs au look très cartoon, pouvant être amené à porter des costumes loufoques (sept par personnages : Rue pour Ashley, Cuir ou Bubble-Gum pour Kiko, Ours pour Helga, etc.). Bien moins dynamique également, le titre de Konami n’en reste pas moins agréable à jouer dès lors qu’on décide de défier quelques amis (une seule cartouche, une cartouche par console, jusqu’à quatre joueurs), voire quelques joueurs du monde entier (en ligne jusqu’à quatre joueurs). Quoi de mieux pour faire tomber tous les records du Monde ?
Vidéo #2 - Quelques épreuves
Vidéo #2 - Quelques épreuves
Conclusion
Tout en proposant de nombreux bonus à débloquer (costumes, personnages, défis) une vingtaine d’épreuves différentes, et malgré une réalisation en deçà de celle proposée par Mario & Sonic Aux Jeux Olympiques, New International Track & Field risque bien de vous faire passer un certain nombre d’heures devant votre console, à condition que vous puissiez la poser sur une table, par exemple, que vous ne soyez pas envahi par la peur de rayer votre écran tactile, ou stopper net par quelques épreuves mal calibrées. Trop vite rébarbatif seul, le titre de Konami n’en reste pas moins agréable à plusieurs.
Ce jeu vous intéresse ? Retrouvez-le dans le
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