Test de Qix ++ sur Xbox 360
Qix ++ sur le Xbox Live Arcade est l'adaptation d'une version parue sur Arcade en 1981.
Déjà paru sur Arcade en 1981, Qix ++ est un jeu d'adresse disponible sur le Xbox Live dans une version remise au goût du jour.
Le but du jeu est simple : aux commandes d'un marqueur, un petit vaisseau, le joueur doit enfermer un ennemi appelé Qix. Le terrain est rectangulaire et c'est au joueur de décider quelle partie il va devoir ciseler afin de pousser son adversaire dans ses retranchements. Pour les premiers niveaux, il faudra couper 75% du terrain au minimum. Mais le jeu ne se limite pas à grignoter les pourcentages de zones prises afin de pouvoir passer au niveau suivant.
En effet, en plus de l'objectif principal, des bonus sont attribués en fonction de la zone totale capturée (3 au maximum si les 90% sont dépassés). Ces bonus sont représentés par des points qui permettent d'améliorer les caractéristiques du marqueur. Ainsi, jusqu'à 7 points peuvent être mis dans le bouclier (soit l'endurance), la vitesse du marqueur, le cutter (la rapidité lorsqu'il est en train de créer des lignes pour délimiter le terrain) et la chance. En fonction des points placés dans les catégories citées ci-dessus, le vaisseau adopte une forme différente. Cette étape a lieu automatiquement, même si aucun point n'a été gagné, après chaque niveau réussi. Sachant que le niveau s'arrête dès que l'objectif de départ est égalé ou dépassé, il faudra jouer finement pour accumuler un maximum de points. Des objets se trouvent sur le terrain. S'ils ne sont pas détruits par le Qix, le joueur pourra les utiliser. Si certains confèrent des points supplémentaires, d'autres pourront figer le temps, réduire la taille de l'ennemi afin de faciliter son emprisonnement...
Les ennemis arborent des formes basiques comme des traits, des cercles, des ronds ou encore des triangles... Visuellement, s'ils sont plutôt simplistes, d'autres Qix (notamment le papillon) possèdent des traits bien plus travaillés et agréables à l'œil. Il est néanmoins regrettable que ce genre d'ennemis ne soit pas plus nombreux. En revanche, chaque adversaire dispose de ses propres mouvements et pouvoirs : certains se dédoublent, d'autres ralentissent le joueur... La difficulté reste, quant à elle, assez discrète puisque seul le Qix du 8ème niveau de la 2ème section va nous donner du fil à retordre (à cause de sa rapidité).
L'interface et l'atmosphère du jeu proposent un univers futuriste dans lequel il est plaisant de s'immerger. Les musiques, un peu répétitives, s'accordent correctement avec l'ambiance mise en place. Pourtant, le manque de contenu du mode classique en solo laisse une sensation bien amère. En effet, seules deux sections composées de huit niveaux chacune sont disponibles. Qix ++ parie donc sur l'envie du joueur de battre ses records ainsi que ceux des autres. Un classement est d'ailleurs consultable. Des modes multijoueurs sont également présents en ligne, ainsi qu'en local, en proposant des parties comprenant jusqu'à quatre personnes. Mais cela comblera-t-il vraiment les acheteurs du titre ?
Au final, Qix ++ s'avère aussi fun et addictif que son modèle. Son ambiance générale s'incruste harmonieusement avec le style de jeu. Dommage cependant que le contenu s'avère bien trop pauvre. Car, même si l'envie de décrocher de nouveaux records est bien présente, cela ne représente malheureusement pas un défi suffisant qui justifierait les 800 Points Microsoft nécessaires pour jouer à la version complète.
Un point commun avec les céréales : nous faire craquer
Le but du jeu est simple : aux commandes d'un marqueur, un petit vaisseau, le joueur doit enfermer un ennemi appelé Qix. Le terrain est rectangulaire et c'est au joueur de décider quelle partie il va devoir ciseler afin de pousser son adversaire dans ses retranchements. Pour les premiers niveaux, il faudra couper 75% du terrain au minimum. Mais le jeu ne se limite pas à grignoter les pourcentages de zones prises afin de pouvoir passer au niveau suivant.
En effet, en plus de l'objectif principal, des bonus sont attribués en fonction de la zone totale capturée (3 au maximum si les 90% sont dépassés). Ces bonus sont représentés par des points qui permettent d'améliorer les caractéristiques du marqueur. Ainsi, jusqu'à 7 points peuvent être mis dans le bouclier (soit l'endurance), la vitesse du marqueur, le cutter (la rapidité lorsqu'il est en train de créer des lignes pour délimiter le terrain) et la chance. En fonction des points placés dans les catégories citées ci-dessus, le vaisseau adopte une forme différente. Cette étape a lieu automatiquement, même si aucun point n'a été gagné, après chaque niveau réussi. Sachant que le niveau s'arrête dès que l'objectif de départ est égalé ou dépassé, il faudra jouer finement pour accumuler un maximum de points. Des objets se trouvent sur le terrain. S'ils ne sont pas détruits par le Qix, le joueur pourra les utiliser. Si certains confèrent des points supplémentaires, d'autres pourront figer le temps, réduire la taille de l'ennemi afin de faciliter son emprisonnement...
Vidéo #2 - Gameplay (Section 2)
Gameplay (Section 2)
« Le manque de contenu du mode classique en solo laisse une sensation bien amère »
Les ennemis arborent des formes basiques comme des traits, des cercles, des ronds ou encore des triangles... Visuellement, s'ils sont plutôt simplistes, d'autres Qix (notamment le papillon) possèdent des traits bien plus travaillés et agréables à l'œil. Il est néanmoins regrettable que ce genre d'ennemis ne soit pas plus nombreux. En revanche, chaque adversaire dispose de ses propres mouvements et pouvoirs : certains se dédoublent, d'autres ralentissent le joueur... La difficulté reste, quant à elle, assez discrète puisque seul le Qix du 8ème niveau de la 2ème section va nous donner du fil à retordre (à cause de sa rapidité).
L'interface et l'atmosphère du jeu proposent un univers futuriste dans lequel il est plaisant de s'immerger. Les musiques, un peu répétitives, s'accordent correctement avec l'ambiance mise en place. Pourtant, le manque de contenu du mode classique en solo laisse une sensation bien amère. En effet, seules deux sections composées de huit niveaux chacune sont disponibles. Qix ++ parie donc sur l'envie du joueur de battre ses records ainsi que ceux des autres. Un classement est d'ailleurs consultable. Des modes multijoueurs sont également présents en ligne, ainsi qu'en local, en proposant des parties comprenant jusqu'à quatre personnes. Mais cela comblera-t-il vraiment les acheteurs du titre ?
Conclusion
Au final, Qix ++ s'avère aussi fun et addictif que son modèle. Son ambiance générale s'incruste harmonieusement avec le style de jeu. Dommage cependant que le contenu s'avère bien trop pauvre. Car, même si l'envie de décrocher de nouveaux records est bien présente, cela ne représente malheureusement pas un défi suffisant qui justifierait les 800 Points Microsoft nécessaires pour jouer à la version complète.
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