Yu-gi-oh: the sacred cards : Les dieux sont parmis nous
La déferlante Yu-Gi-Oh continue sur nos consoles. Nous en sommes déjà au troisième opus en moins d´un an. Il faut espérer que la qualité sera au rendez-vous...
La déferlante Yu-Gi-Oh continue sur nos consoles. Nous en sommes déjà au troisième opus en moins d´un an. Il faut espérer que la qualité sera au rendez-vous car les fans seront intransigeants. Est-ce que les défauts vont être corrigés ? Plongeons nous dans le monde complexe de notre ami à la coiffure iroquoise.
Konami parvient à bien nous restituer l´essence du dessin animé. De nombreux défauts ont été gommés, mais malheureusement d´autres ont débarqué. Il n´y a plus de fautes d´orthographe (enfin), les graphismes sont beaux, on se ballade tranquillement dans la ville. Par contre, les cartes ont perdu de leur superbe, et sont devenues un peu petites. On ne distingue plus trop les monstres car les dessins sont minuscules. Voilà un bon opus, mais qui risque de laisser un goût amer dans la bouche des fans, ceci à cause de la représentation des cartes et de la durée de vie un poil trop courte.
Encore un résumé[/H1] Pour tous ceux qui ne connaissent pas la série, voilà une séance de rattrapage. Notre ami Yu-Gi a résolu le mystère d'un puzzle égyptien. Ce dernier dévoile en lui une double personnalité. Il a en effet réveillé un roi qui est à la recherche de sa mémoire. Après moult aventures, un de ses grands rivaux Kaiba organise un grand tournoi dans un lieu appelé Battle city. L'enjeu est de déterminer le plus grand duelliste. La paix dans le monde est menacée car un ennemi de l'ombre menace le double de Yu-Gi. J'espère avoir été clair, sinon je vous conseille la lecture de cet excellent manga.
[H1]Conclusion
Plongeons au cœur de l'action[/H1] Le premier changement par rapport au précédent opus est que l'on dirige son petit personnage dans la ville, d'ailleurs représentée de très belle manière. On retrouve tous les éléments vus dans le manga. Les fans ne seront pas dépaysés, et les autres pourront apprécier le travail fourni par les graphistes. On se trouve au départ au cœur de Battle City, puis petit à petit on ouvre d'autres lieux auxquels on accède par la carte. Les décors sont vraiment très beaux, et on reconnaît assez aisément les différents protagonistes de la série. Que du bon pour l'instant.Lorsque l'on rencontre un duelliste, on peut soit lui parler et obtenir diverses informations, soit le provoquer en duel. Dans ce cas, un nouvel écran s'ouvre et on peut miser une carte. Si vous sortez vainqueur, vous gagnez celle de votre adversaire. Si vous décidez de parier une carte rare ou de forte valeur, celle de votre adversaire sera du même ordre. Il n'est donc pas inhabituel de gagner de très bonnes cartes. Parfois, vous devrez parier une carte de localisation. Celles-ci, si vous en obtenez 6, vont vous permettre d'accéder à la finale.
Konami a presque réussi son tour de force cette fois. On prend encore plus de plaisir à balader notre petit personnage dans les différents quartiers de la ville. Les thèmes musicaux diffèrent selon l'endroit ou vous vous trouvez. On n'éteint plus le son au bout de 5 minutes comme pour les deux premiers Yu-Gi-Oh sur notre console de poche. Les grossières fautes d'orthographe ont été entièrement balayées. De toute façon, la magie opère toujours et on se prend facilement à faire un duel, puis un deuxième, et au bout du compte on reste scotché à l'écran. Les novices devront bien évidemment se plonger un bon moment dans la notice. Les règles restent toujours aussi compliquées, sauf pour les fans qui les connaissent sur le bout des doigts.On se fait un duel ?
Vous avez bien préparé votre deck (jeu de carte), vous vous sentez prêt à affronter les meilleurs adversaires, faisons une rencontre. Dans le premier Yu-Gi-Oh sorti sur GBA, l'écran des duels était assez lisible. On apercevait bien ses cartes, tout était bien en place. Ici, c'est une déception. Déjà, tout paraît plus petit. Le plateau semble avoir été diminué, et certains éléments n'apparaissent plus, comme l'emplacement du deck ou celui du cimetière. Les monstres ne sont toujours pas représentés, ce qui est pourtant la force du dessin animé. Toujours pas ou peu d'animation, mis à part quelques flammes lorsqu'une de nos créatures bat celle de l'adversaire. Les cartes sont trop petites et on distingue très mal le monstre présent dessus.On retrouve les règles compliquées et l'intensité des affrontements. Il faut élaborer une certaine technique pour espérer vaincre. Mais je vous rassure, on s'en sort très bien dès les premières parties. Malheureusement, par rapport à WWE (WorldWide Edition), les adversaires ne sont pas assez coriaces. Avec un deck assez moyen, peu de combattants vous résisteront. En effet, avec quelques combats j'avais déjà réuni 5 des 6 cartes de localisation. On galère donc moins, mais le plaisir diminue également.[H1]Presque tout bon
[H1]Conclusion
Konami parvient à bien nous restituer l´essence du dessin animé. De nombreux défauts ont été gommés, mais malheureusement d´autres ont débarqué. Il n´y a plus de fautes d´orthographe (enfin), les graphismes sont beaux, on se ballade tranquillement dans la ville. Par contre, les cartes ont perdu de leur superbe, et sont devenues un peu petites. On ne distingue plus trop les monstres car les dessins sont minuscules. Voilà un bon opus, mais qui risque de laisser un goût amer dans la bouche des fans, ceci à cause de la représentation des cartes et de la durée de vie un poil trop courte.
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