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Quel avenir pour la presse jeu vidéo sur le web ?
Réactivité exacerbée, diktat de Google, communication en direct des éditeurs vers les joueurs, puissance accrue des réseaux sociaux et de Youtube... Quel avenir pour la presse web sur le jeu vidéo ? Eléments de réponse avec la vidéo d'1DropDansLaMare.
Après avoir eu le vent en poupe aux alentours des années 2000, les sites spécialisés traitant des jeux vidéo connaissent depuis quelques mois (voire quelques années pour certains) des difficultés pour croître et/ou fidéliser leur audience.
Suite aux multiples réactions de lecteurs et rédacteurs / journalistes, l'équipe a décidé de diffuser aujourd'hui une seconde vidéo, dans laquelle elle donne la parole - sans coupure ou montage des réponses - à plusieurs professionnels : Corentin B. / Kocobe (journaldugamer.com), MiniBlob et Panthaa (Jeuxvideo.com), Nil Sanyas (Next Inpact), Monsieur Plouf (ex-journaliste Start 2 Play), ainsi que votre humble serviteur.
Il faut dire que le sujet est on ne peut plus d'actualité, puisqu'après la baisse du nombre d'enquêtes de fond chez Polygon, c'est le site Gamespot qui a récemment dû se séparer de plus de la moitié de ses rédacteurs.
Les raisons sont multiples :
Et n'oublions pas la concurrence indirecte des réseaux sociaux, lecteurs de flux RSS, sites de partage vidéo ou encore des portails officiels d'éditeurs. Pour ne rien arranger, certains scandales comme le « Doritos Gate » ou celui des tablettes Nexus 7 pour Watch_Dogs, ont permis de largement discréditer les rédacteurs professionnels du monde entier.
Voilà donc quelques éléments de réponse, qui vous donnent UNE vision de la réalité. N'hésitez pas à nous faire part de la vôtre afin que les choses puissent évoluer, et que le site sur lequel vous surfez actuellement soit la meilleure synthèse possible entre vos attentes...
... et nos engagements de professionnels :
Une première chronique qui pose des questionsRetour au sommaire
Certains médias, comme Gamasutra, accusent directement les Youtubers, qui ont en effet conquis bon nombre de joueurs. D'autres pensent qu'à terme la profession de "journaliste jeu vidéo" risque de disparaître. C'est le cas de l'équipe d'UnDropDansLaMare qui avait diffusé une chronique baptisée « Le journalisme Jeu Vidéo sur le Web : Quand la bise fut venue », le 29 juin dernier. Et si elle occultait quelques éléments comme l'évolution de la presse papier - qui a su globalement rebondir en remettant à plat son positionnement en fonction des forces et faiblesses du support -, cette dernière avait tout de même le mérite de faire un état des lieux succinct et assez pertinent.Suite aux multiples réactions de lecteurs et rédacteurs / journalistes, l'équipe a décidé de diffuser aujourd'hui une seconde vidéo, dans laquelle elle donne la parole - sans coupure ou montage des réponses - à plusieurs professionnels : Corentin B. / Kocobe (journaldugamer.com), MiniBlob et Panthaa (Jeuxvideo.com), Nil Sanyas (Next Inpact), Monsieur Plouf (ex-journaliste Start 2 Play), ainsi que votre humble serviteur.
Il faut dire que le sujet est on ne peut plus d'actualité, puisqu'après la baisse du nombre d'enquêtes de fond chez Polygon, c'est le site Gamespot qui a récemment dû se séparer de plus de la moitié de ses rédacteurs.
Les raisons sont multiples :
- difficulté de rentabiliser de longs articles de fond et à être spécialisé sur un nombre grandissant de jeux / plateformes,
- augmentation du nombre de concurrents directs,
- gestion de plus en plus complexe - et nécessaire - du positionnement sur Google,
- investissements toujours plus coûteux (pour faire davantage de vidéos, lives et tests, couvrir plus d'événements...),
- perte de certains lecteurs du fait de publicités gênantes, montée en puissance des bloqueurs de pubs nuisant à la capacité de financement, etc.
Et n'oublions pas la concurrence indirecte des réseaux sociaux, lecteurs de flux RSS, sites de partage vidéo ou encore des portails officiels d'éditeurs. Pour ne rien arranger, certains scandales comme le « Doritos Gate » ou celui des tablettes Nexus 7 pour Watch_Dogs, ont permis de largement discréditer les rédacteurs professionnels du monde entier.
La réponse des six intéressésRetour au sommaire
Le moment nous a paru donc plutôt bien choisi pour intervenir dans cette vidéo (visible ci-dessous), et énoncer au même titre que nos cinq autres collègues notre vision de la situation actuelle, ainsi que la manière dont nous envisageons l'avenir.Voilà donc quelques éléments de réponse, qui vous donnent UNE vision de la réalité. N'hésitez pas à nous faire part de la vôtre afin que les choses puissent évoluer, et que le site sur lequel vous surfez actuellement soit la meilleure synthèse possible entre vos attentes...
- proximité,
- interactions,
- réactivité,
- hiérarchisation de l'information,
- discours sans langue de bois,
- contenus attractifs et intéressants...
- rigueur,
- qualité de l'argumentation,
- impartialité,
- envie de vous faire découvrir des jeux / supports vers lesquels vous n'iriez pas forcément,
- avoir la capacité d'innover et d'investir constamment pour vous apporter davantage de contenus, etc.
@jc_vandamme Personnellement ce serait plutôt pour trouver le mec qui gère leur com et lui le féliciter, parce que réussir à enfler à ce point les joueurs tout en crachant sur une partie d'entre eux sans que personne ne bronche franchement il faut le faire xD
pastaga-(51) Ah ça non merci, il n'y a pas plus insupportable comme soit-disant "amis"
kyuubi34800 et comme le dit si bien le proverbe: mieux vaut des ennemis francs, que des amis complaisants
@faithfull Tu rigoles, c'était le premier à aller picoler avec Gérard dans les chiottes, faut pas se fier aux apparences xD
@faithfull Bah si, dans le cas de Hollande le client est tellement roi qu'il le dégage quand il le veut vraiment (ou si il en a la flemme il le fait en 2017 en n'ayant qu'à lever son cul de son canapé) Le client a été roi sur cette gen, souhaitant du COD il a eut du COD souhaitant des remakes il a eut des remakes etc Le client est toujours roi en tout cas quand celui-ci est dans la majorité (ce qui est bien souvent malheureux je te l'accorde...)