Sweeney, Carmack Andersson sceptiques mais curieux à propos de SteamOS
Quelque-uns des plus brillants développeurs de leur génération se sont exprimés à propos des projets SteamOS / Steam Machines de Valve.
Conviés par NVIDIA à l'occasion d'un événement consacré aux nouveautés du promoteur de la GeForce, Tim Sweeny (Epic Games), Johan Andersson (DICE) et John Carmack (Oculus VR) ont été invités à donner leur opinion au sujet de SteamOS et Steam Machines.
John Carmack a été le premier à répondre en évoquant une petite anecdote : « Au lancement de Doom 3, Valve nous a demandé si nous voulions le proposer sur Steam et nous avons dit vous êtes fous ? ». Avec cette anecdote, M. Carmack voulait montrer combien Valve n'avait pas forcément été pris au sérieux au lancement de Steam alors qu'aujourd'hui, la plateforme est devenu absolument incontournable.
Du coup, John Carmack précise que si ça avait été une autre société, il serait « plus que sceptique, méprisant », mais puisqu'il est question de Valve, il préfère rester ouvert d'esprit.
C'est un peu le même son de cloche chez Tim Sweeney qui évoque sa première réaction : « Construire une plateforme grand public autour de Linux ? N'importe quoi ! ». Il considère cependant que valve ne fonctionne pas de la même manière que Microsoft ou Sony et cherche davantage à se construire sur la durée. De plus, en ce qui concerne les développeurs, les promesses de liens directs avec les joueurs - du fait de l'ouverture réelle de SteamOS - est très intéressante.
Johan Andersson affiche le même scepticisme, mais aussi la même curiosité que ses deux confrères. Il estime que ce n'est de toute façon pas quelque chose qui se juge en quelques semaines et qu'il « faudra beaucoup de temps avant de pouvoir juger de quoi que ce soit ».
John Carmack a été le premier à répondre en évoquant une petite anecdote : « Au lancement de Doom 3, Valve nous a demandé si nous voulions le proposer sur Steam et nous avons dit vous êtes fous ? ». Avec cette anecdote, M. Carmack voulait montrer combien Valve n'avait pas forcément été pris au sérieux au lancement de Steam alors qu'aujourd'hui, la plateforme est devenu absolument incontournable.
Du coup, John Carmack précise que si ça avait été une autre société, il serait « plus que sceptique, méprisant », mais puisqu'il est question de Valve, il préfère rester ouvert d'esprit.
C'est un peu le même son de cloche chez Tim Sweeney qui évoque sa première réaction : « Construire une plateforme grand public autour de Linux ? N'importe quoi ! ». Il considère cependant que valve ne fonctionne pas de la même manière que Microsoft ou Sony et cherche davantage à se construire sur la durée. De plus, en ce qui concerne les développeurs, les promesses de liens directs avec les joueurs - du fait de l'ouverture réelle de SteamOS - est très intéressante.
Johan Andersson affiche le même scepticisme, mais aussi la même curiosité que ses deux confrères. Il estime que ce n'est de toute façon pas quelque chose qui se juge en quelques semaines et qu'il « faudra beaucoup de temps avant de pouvoir juger de quoi que ce soit ».
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