Crytek dément tout problème financier (MàJ)
Le studio allemand réfute les récentes informations évoquant une situation financière précaire.
Mise à jour : Crytek n'a pas tardé à réagir à l'article publié par GameStar et à nos confrères d'Eurogamer, le studio allemand conteste ces allégations. Crytek explique que le travaille continue normalement sur les projets Homefront : The Revolution, Hunt : Horrors of the Gilded Age, Arena of Fate et Warface. Le groupe soutient toujours ses différentes licences et il retient surtout les « excellents retours qu'il reçu pendant et après l'E3 ».
Précédemment : À en croire nos confrères allemands de GameStar.de, la société Crytek connaît actuellement de grandes difficultés financières et serait même sur le point de faire banqueroute.
Disponible sur le site de nos confrères, l'information n'est que partiellement accessible, mais DSOGaming semble avoir eu accès à l'ensemble de l'article. Crytek connaîtrait donc d'importantes difficultés du fait de récents revers avec son nouveau moteur graphique - le CryEngine - et avec Ryse : Son Of Rome. L'un comme l'autre n'ont pas remporté le succès escompté.
Crytek doit par ailleurs faire avec de nombreux employés - plus de 800 - qu'il aurait toutes les peines du monde à payer dans les temps. L'un des trois frères fondateurs de Crytek - Avni Yerli - aurait toutefois précisé que des injections de liquidités devraient arriver sous peu, mais nos confrères évoquent malgré tout la piste d'un rachat, notamment par le bien plus en forme Wargaming.net. Affaire à suivre donc.
Précédemment : À en croire nos confrères allemands de GameStar.de, la société Crytek connaît actuellement de grandes difficultés financières et serait même sur le point de faire banqueroute.
Disponible sur le site de nos confrères, l'information n'est que partiellement accessible, mais DSOGaming semble avoir eu accès à l'ensemble de l'article. Crytek connaîtrait donc d'importantes difficultés du fait de récents revers avec son nouveau moteur graphique - le CryEngine - et avec Ryse : Son Of Rome. L'un comme l'autre n'ont pas remporté le succès escompté.
Crytek doit par ailleurs faire avec de nombreux employés - plus de 800 - qu'il aurait toutes les peines du monde à payer dans les temps. L'un des trois frères fondateurs de Crytek - Avni Yerli - aurait toutefois précisé que des injections de liquidités devraient arriver sous peu, mais nos confrères évoquent malgré tout la piste d'un rachat, notamment par le bien plus en forme Wargaming.net. Affaire à suivre donc.