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{Topic Principal} Brink
Page 1 sur 3 / Total : 44 résultats
Sauvegarde...
Genre: RPG, FPS
Editeur: Bethesda Softworks
Développeur: Splash Damages
Console: PS3/360/PC
Sortie: 2011
--------------------------------------------------------------
Infos:
Aucune pour le moment, mais cela ne devrait pas tarder
-------------------------------------------------------------
Images:
Vidéos:
E3 09: Exclusive Teaser SD
E3 09: Exclusive Teaser HD
Message edité le 11/08/2010 à 10:52
Editeur: Bethesda Softworks
Développeur: Splash Damages
Console: PS3/360/PC
Sortie: 2011
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Infos:
Aucune pour le moment, mais cela ne devrait pas tarder
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Images:
Vidéos:
E3 09: Exclusive Teaser SD
E3 09: Exclusive Teaser HD
Message edité le 11/08/2010 à 10:52
Sauvegarde...
C'est magnifique! superbement modélisé le visage de la personne
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
jasper a écrit:
C'est magnifique! superbement modélisé le visage de la personne
C'est sûrement de la CG, pas le moteur du jeu ^^
Sauvegarde...
C'est joli quand même ^^Nikou a écrit:jasper a écrit:
C'est magnifique! superbement modélisé le visage de la personne
C'est sûrement de la CG, pas le moteur du jeu ^^
Sauvegarde...
Point sur le multi et le solo
source
BRINK, le FPS développé par Splash Damage et édité par Bethesda, se dévoile un peu plus s'agissant de ses modes solo et multijoueur.
En effet, Richard ‘Rahdo’ Ham, directeur créatif sur le titre, a déclaré que le multijoueur de BRINK ne s'imposerait pas au joueur qui pourra fort bien s'en passer :
« Quand vous jouez au titre pour la première fois, il n'y aura pas de choix entre faire une partie en ligne ou jouer hors ligne. Il n'existe rien de tel. Il existe une continuité entre ce que l'on considère habituellement comme étant des modes de jeu. Vous jouez simplement. En fait, si je décide d'aller à Container City, je vais faire cette mission. Vous vous retrouvez alors devant un titre traditionnel avec des éléments scénarisés et vous pouvez décider d'y jouer seul ou avec sept de vos potes ou y jouer à travers un match à mort par équipe. »
Se faisant plus précis, il ajoute :
« Nous nous attendons à ce que beaucoup de joueurs soient comme moi, jouant seul, passant un bon moment et, si nous constatons que vous êtes en ligne, nous vous arrêterons entre les missions pour vous dire, « Vous vous en sortez vraiment bien, peut-être ne l'avez-vous pas remarqué mais vous avez accumulé pas mal de trucs, donc vous voudriez peut-être jouer en ligne. Si tel est le cas, votre expérience acquise sera doublée. » Les joueurs essayeront donc car ils trouveront exactement les mêmes choses. Ils seront beeaucoup plus à l'aise que par le passé. »
source
Sauvegarde...
Preview
S'il y a un développeur qui n'était pas attendu sur le terrain des FPS multijoueurs pour console, c'est bien le studio anglais Splash Damage. Pourtant, celui-ci travaille actuellement sur Brink, un titre édité par Bethesda et qui tire avantage du moteur id Tech 4 d'une fort belle manière.
Le jeu se déroule en 2045 sur l'Ark, une ville construite comme cité idéale écologique et auto-suffisante mais que la gouvernance par une nation totalitaire a amené au bord de la guerre civile. Deux factions s'affrontent dans la métropole : La sécurité qui tente de maintenir l'ordre et la Résistance combattant le régime en place ou du moins ce qu'il en reste.
Mais même si chaque lieu a son histoire propre détaillée et faisant partie d'un grand ensemble, la narration ne semble pas être l'aspect le plus important dans le jeu.
En effet, la présentation a débuté en solo par un affrontement entre la résistance et la sécurité avant de continuer en coopératif durant la même partie et sur la même carte qui semblait aussi destiné au multijoueur. Ce que Splash Damage semble avoir réussi ici, c'est de mêler des qualités d'une expérience solitaire à celles d'un jeu multi.
En effet, au fil de la partie, le joueur se voit attribuer des tâches qui pourront aider son équipe à progresser vers un but final déterminé par la carte. L'utilisateur peut suivre l'objectif par défaut suggéré dynamiquement par l'IA du jeu, ou ouvrir un menu rotatif permettant de choisir une tâche à réaliser parmi une dizaine proposée.
Cela peut aller de l'escorte d'un robot de sécurité vers un lieu donné, jusqu'à la mise en place d'une mitrailleuse automatique sur pied en passant par l'interrogatoire très électrique d'un ennemi blessé. Notons également qu'il existe différentes classes aux capacités distinctes, et qu'il est possible de passer de l'une à l'autre à volonté pendant la partie.
Tuer des ennemis et remplir des objectifs donne des points d'expérience quel que soit le mode de jeu. Ces points permettent d'améliorer et de customiser le personnage dont le joueur dispose, que ce soit au niveau de son physique, de sa tenue ou de ses armes. Les changements au niveau de la physiologie ont un impact direct sur le gameplay, un personnage lourd pouvant par exemple encaisser plus de dégâts.
Acquérir de l'expérience permet surtout d'utiliser de meilleures armes et protections. On espère que l'équilibrage sera réalisé avec soin car certains FPS ont montré qu'un système de ce type mal implanté peur ruiner l'expérience. Heureusement, le fait que Splash Damage n'en soit pas à son premier jeu multi est plutôt rassurant.
Le joueur disposera d'un "bouton intelligent" pour le maniement du personnage. Appuyer dessus fera interagir avec l'environnement de la manière attendue en fonction de la direction du regard.
Pointé vers le haut, il permettra de monter sur des obstacles à la Mirror's Edge, ou encore servira à sauter au dessus de rambardes. Le tout reste très fluide, le joueur n'étant jamais coincé dans une animation lors d'un saut, gardant toujours le contrôle du personnage.
Les combats sont très dynamiques, avec des armes ayant un réel impact, des ennemis nombreux et dotés d'une IA agressive et une maniabilité plutôt bonne, même si la vitesse de déplacement reste celle d'un personnage de FPS console.
Le gunplay est assez classique et semble de qualité, avec des impacts visibles sur les ennemis dont le corps réagit naturellement aux tirs, et des armes donnant des sensations distinctes et assez variées, du pistolet-mitrailleur au lance-grenades.
Mais c'est surtout au niveau de la réalisation que le jeu impressionne. Difficile d'y croire sachant que le moteur utilisé est une version modifiée de celui de , mais les graphismes sont d'excellente qualité, très détaillés avec un rendu très agréable rappelant celui d'un Killzone 2 avec moins de post-processing.
Même si l'apparence des personnages est caricaturale, le reste de la modélisation est particulièrement fidèle et l'immersion est d'autant plus grande que le son est aussi excellent. Des explosions de grenades aux impacts de balles sur le métal, tout ce qui se passe durant le combat s'entend et crée une atmosphère de bataille bien plus convaincante que dans Modern Warfare 2 par exemple.
S'il ne faut pas attendre de Brink une histoire profonde avec une narration particulièrement bien gérée ou des personnages mémorables, le titre reste cependant un essai prometteur sur la manière de réaliser une expérience intéressante aussi bien en multijoueur qu'en coopératif ou en solo.
Le système d'objectifs se révèle très efficace pour ajouter de la diversité et une sensation de progression dans un type de jeu dont le gameplay de base est généralement plus limité et où l'objectif se résume à tuer l'ennemi de diverses manières.
Source: Gamers.fr
Edité le 22/08/2009 à 11:57
S'il y a un développeur qui n'était pas attendu sur le terrain des FPS multijoueurs pour console, c'est bien le studio anglais Splash Damage. Pourtant, celui-ci travaille actuellement sur Brink, un titre édité par Bethesda et qui tire avantage du moteur id Tech 4 d'une fort belle manière.
Le jeu se déroule en 2045 sur l'Ark, une ville construite comme cité idéale écologique et auto-suffisante mais que la gouvernance par une nation totalitaire a amené au bord de la guerre civile. Deux factions s'affrontent dans la métropole : La sécurité qui tente de maintenir l'ordre et la Résistance combattant le régime en place ou du moins ce qu'il en reste.
Mais même si chaque lieu a son histoire propre détaillée et faisant partie d'un grand ensemble, la narration ne semble pas être l'aspect le plus important dans le jeu.
En effet, la présentation a débuté en solo par un affrontement entre la résistance et la sécurité avant de continuer en coopératif durant la même partie et sur la même carte qui semblait aussi destiné au multijoueur. Ce que Splash Damage semble avoir réussi ici, c'est de mêler des qualités d'une expérience solitaire à celles d'un jeu multi.
En effet, au fil de la partie, le joueur se voit attribuer des tâches qui pourront aider son équipe à progresser vers un but final déterminé par la carte. L'utilisateur peut suivre l'objectif par défaut suggéré dynamiquement par l'IA du jeu, ou ouvrir un menu rotatif permettant de choisir une tâche à réaliser parmi une dizaine proposée.
Cela peut aller de l'escorte d'un robot de sécurité vers un lieu donné, jusqu'à la mise en place d'une mitrailleuse automatique sur pied en passant par l'interrogatoire très électrique d'un ennemi blessé. Notons également qu'il existe différentes classes aux capacités distinctes, et qu'il est possible de passer de l'une à l'autre à volonté pendant la partie.
Tuer des ennemis et remplir des objectifs donne des points d'expérience quel que soit le mode de jeu. Ces points permettent d'améliorer et de customiser le personnage dont le joueur dispose, que ce soit au niveau de son physique, de sa tenue ou de ses armes. Les changements au niveau de la physiologie ont un impact direct sur le gameplay, un personnage lourd pouvant par exemple encaisser plus de dégâts.
Acquérir de l'expérience permet surtout d'utiliser de meilleures armes et protections. On espère que l'équilibrage sera réalisé avec soin car certains FPS ont montré qu'un système de ce type mal implanté peur ruiner l'expérience. Heureusement, le fait que Splash Damage n'en soit pas à son premier jeu multi est plutôt rassurant.
Le joueur disposera d'un "bouton intelligent" pour le maniement du personnage. Appuyer dessus fera interagir avec l'environnement de la manière attendue en fonction de la direction du regard.
Pointé vers le haut, il permettra de monter sur des obstacles à la Mirror's Edge, ou encore servira à sauter au dessus de rambardes. Le tout reste très fluide, le joueur n'étant jamais coincé dans une animation lors d'un saut, gardant toujours le contrôle du personnage.
Les combats sont très dynamiques, avec des armes ayant un réel impact, des ennemis nombreux et dotés d'une IA agressive et une maniabilité plutôt bonne, même si la vitesse de déplacement reste celle d'un personnage de FPS console.
Le gunplay est assez classique et semble de qualité, avec des impacts visibles sur les ennemis dont le corps réagit naturellement aux tirs, et des armes donnant des sensations distinctes et assez variées, du pistolet-mitrailleur au lance-grenades.
Mais c'est surtout au niveau de la réalisation que le jeu impressionne. Difficile d'y croire sachant que le moteur utilisé est une version modifiée de celui de , mais les graphismes sont d'excellente qualité, très détaillés avec un rendu très agréable rappelant celui d'un Killzone 2 avec moins de post-processing.
Même si l'apparence des personnages est caricaturale, le reste de la modélisation est particulièrement fidèle et l'immersion est d'autant plus grande que le son est aussi excellent. Des explosions de grenades aux impacts de balles sur le métal, tout ce qui se passe durant le combat s'entend et crée une atmosphère de bataille bien plus convaincante que dans Modern Warfare 2 par exemple.
S'il ne faut pas attendre de Brink une histoire profonde avec une narration particulièrement bien gérée ou des personnages mémorables, le titre reste cependant un essai prometteur sur la manière de réaliser une expérience intéressante aussi bien en multijoueur qu'en coopératif ou en solo.
Le système d'objectifs se révèle très efficace pour ajouter de la diversité et une sensation de progression dans un type de jeu dont le gameplay de base est généralement plus limité et où l'objectif se résume à tuer l'ennemi de diverses manières.
Source: Gamers.fr
Edité le 22/08/2009 à 11:57
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
Brink sera mieux sur PC d'après Splash Damage
Le directeur créatif de Splash Damage Richard 'Rahdo' Ham a déclaré dans une interview à videogamer que Brink délivrera une meilleure expérience sur PC. Rien de nouveau sous le soleil, mais il est rare qu'un développeur soit honnête à ce sujet et l'admette publiquement.
"Peu importe à quel point nous travaillions dur pour créer de parfaits contrôles pour des sticks analogiques - soit dit en passant, nous avons des contrôles vraiment bons au stick analogique - cela reste une souris du pauvre au final."
"Évidemment, cela va sans dire que sur consoles, le jeu sera limité à la résolution maximale que les consoles peuvent gérer. Alors que sur PC, le ciel est la limite, selon l'ordinateur que vous avez."
"On se moquerait de moi si je m'asseyais et disait 'oui, bien sûr, les jeux sur console seront aussi beaux que la version PC'. La version PC sera toujours reine car elle peut toujours s'adapter et continuer à progresser si vous avez l'argent."
"Tous les joueurs PC savent où la meilleure expérience se trouvera si vous avez l'argent. Mais je suis avant tout un joueur console et nous faisons en sorte que ce soit une expérience fantastique et belle sur consoles."
Malgré le fait que les concepteurs n'aient eu le droit de tester le jeu qu'en utilisant une manette lors du développement, il se pourrait donc que Brink soit aussi bien adapté au PC qu'aux consoles. Réponse lors de sa sortie au printemps 2010 sur PC, PS3 et Xbox 360.
Source: Gamers.fr
Le directeur créatif de Splash Damage Richard 'Rahdo' Ham a déclaré dans une interview à videogamer que Brink délivrera une meilleure expérience sur PC. Rien de nouveau sous le soleil, mais il est rare qu'un développeur soit honnête à ce sujet et l'admette publiquement.
"Peu importe à quel point nous travaillions dur pour créer de parfaits contrôles pour des sticks analogiques - soit dit en passant, nous avons des contrôles vraiment bons au stick analogique - cela reste une souris du pauvre au final."
"Évidemment, cela va sans dire que sur consoles, le jeu sera limité à la résolution maximale que les consoles peuvent gérer. Alors que sur PC, le ciel est la limite, selon l'ordinateur que vous avez."
"On se moquerait de moi si je m'asseyais et disait 'oui, bien sûr, les jeux sur console seront aussi beaux que la version PC'. La version PC sera toujours reine car elle peut toujours s'adapter et continuer à progresser si vous avez l'argent."
"Tous les joueurs PC savent où la meilleure expérience se trouvera si vous avez l'argent. Mais je suis avant tout un joueur console et nous faisons en sorte que ce soit une expérience fantastique et belle sur consoles."
Malgré le fait que les concepteurs n'aient eu le droit de tester le jeu qu'en utilisant une manette lors du développement, il se pourrait donc que Brink soit aussi bien adapté au PC qu'aux consoles. Réponse lors de sa sortie au printemps 2010 sur PC, PS3 et Xbox 360.
Source: Gamers.fr
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
Le style artistique de ce FPS expliqué
Quand Splash Damage utilise une version largement modifiée de l'id Tech 4 pour construire un jeu édité par Bethesda Softworks, ça donne Brink. Un titre des plus réussis visuellement sur console et qui pourrait changer la manière dont on envisage le FPS multijoueur en ligne.
C'est le français Olivier Leonardi, directeur artistique du studio qui s'est collé à l'exercice du journal du développeur, en expliquant sur le site de Bethesda la conception visuelle de Brink.
Il évoque notamment la conception en "réalité exagérée" de l'aspect des personnages, aux formes volontairement déformées, qu'il s'agisse de leur corps, leur visage ou leurs vêtements. (Personnages, rappelons-le, entièrement personnalisables par le joueur en multi).
Il explique aussi le souci de cohérence qui a présidé à la conception des environnements, qui ont été pensés pour refléter et raconter l'histoire de la ville. Celle-ci a quant à elle été pensée à partir d'architecture existante, de projets réels afin de la baser dans la réalité. La narration par les environnements qu'ils appellent pompeusement "Instant Deep Context" (Contexte profond instantané) rappelle les démarches employées avec succès par Valve.
Enfin, Brink sera coloré, et non désaturé, contrairement à certains autres titres récents. La couleur sera notamment utilisée différemment selon les environnements pour aider à évoquer différentes émotions et ambiances.
Le jeu doit sortir au printemps 2010 sur PC, PS3 et Xbox 360, et vous pouvez trouver plus d'informations à son sujet en anglais dans le post du PDG de Splash Damage ainsi que dans nos précédentes news.
Source:Gamers.fr
Quand Splash Damage utilise une version largement modifiée de l'id Tech 4 pour construire un jeu édité par Bethesda Softworks, ça donne Brink. Un titre des plus réussis visuellement sur console et qui pourrait changer la manière dont on envisage le FPS multijoueur en ligne.
C'est le français Olivier Leonardi, directeur artistique du studio qui s'est collé à l'exercice du journal du développeur, en expliquant sur le site de Bethesda la conception visuelle de Brink.
Il évoque notamment la conception en "réalité exagérée" de l'aspect des personnages, aux formes volontairement déformées, qu'il s'agisse de leur corps, leur visage ou leurs vêtements. (Personnages, rappelons-le, entièrement personnalisables par le joueur en multi).
Il explique aussi le souci de cohérence qui a présidé à la conception des environnements, qui ont été pensés pour refléter et raconter l'histoire de la ville. Celle-ci a quant à elle été pensée à partir d'architecture existante, de projets réels afin de la baser dans la réalité. La narration par les environnements qu'ils appellent pompeusement "Instant Deep Context" (Contexte profond instantané) rappelle les démarches employées avec succès par Valve.
Enfin, Brink sera coloré, et non désaturé, contrairement à certains autres titres récents. La couleur sera notamment utilisée différemment selon les environnements pour aider à évoquer différentes émotions et ambiances.
Le jeu doit sortir au printemps 2010 sur PC, PS3 et Xbox 360, et vous pouvez trouver plus d'informations à son sujet en anglais dans le post du PDG de Splash Damage ainsi que dans nos précédentes news.
Source:Gamers.fr
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
Brink aura des serveurs dédiés et un vrai solo
Pendant que chez Infinity Ward, les développeurs abusent de champignons hallucinogènes pour sortir des idées à la noix pour le multijoueur de Modern Warfare 2 sur PC, les anglais de Splash Damage s'en tiennent à la bière et au whisky local, ce qui leur évite de faire n'importe quoi en plein jour.
Ils ont ainsi annoncé que leur futur jeu solo-multijoueur-coopératif, Brink utilisera des serveurs dédiés pour son mode multi sur PC.
De manière plus générale, le PDG Paul Wedgwood a précisé à la presse que le mode solo du jeu sera comparable en termes de taille, aux plus grands titres du genre.
"En termes de gameplay unique, nous en sommes toujours à déterminer exactement ce que ça sera, mais ça sera certainement comparable aux autres jeux de tirs AAA, donc si vous pensez à des choses comme Halo, Call of Duty, Gears, ce genre de choses : Ce sera du même ordre."
Mais le développeur a insisté sur la durée de vie et l'histoire de l'univers du jeu.
"Un de nos grands buts de de rendre le jeu vraiment, vraiment jouable. De la même manière que dans un jeu de course, vous faites le mode histoire, mais il y a encore beaucoup de choses à débloquer et à jouer, des défis et des choses à faire."
"Nous faisons beaucoup ça avec notre conception des environnements... Au centre de la carte sur laquelle je viens de jouer, il y a un énorme navire nommé Hope [Espoir], qui est un ancien bateau chimique, et il y a toute une histoire derrière ce navire. Et plus vous jouez à travers cette carte, plus vous jouez à travers les environnements, et plus vous devenez conscient de cette histoire et de tout ce qui se passe."
"Il y a vraiment une récompense à l'exploration, plutôt qu'à jouer juste au jeu une fois."
Étant donné que les cartes seront semble-t-il partagées entre le solo et le multijoueur, cela devrait donner l'occasion aux amateurs de narration de sauter le pas pour continuer en ligne.
Brink est prévu pour arriver au printemps sur PC, PS3 et Xbox 360. Et d'après ce qui était présenté à la Gamescom, le jeu est très prometteur.
Source:Gamers.fr
Pendant que chez Infinity Ward, les développeurs abusent de champignons hallucinogènes pour sortir des idées à la noix pour le multijoueur de Modern Warfare 2 sur PC, les anglais de Splash Damage s'en tiennent à la bière et au whisky local, ce qui leur évite de faire n'importe quoi en plein jour.
Ils ont ainsi annoncé que leur futur jeu solo-multijoueur-coopératif, Brink utilisera des serveurs dédiés pour son mode multi sur PC.
De manière plus générale, le PDG Paul Wedgwood a précisé à la presse que le mode solo du jeu sera comparable en termes de taille, aux plus grands titres du genre.
"En termes de gameplay unique, nous en sommes toujours à déterminer exactement ce que ça sera, mais ça sera certainement comparable aux autres jeux de tirs AAA, donc si vous pensez à des choses comme Halo, Call of Duty, Gears, ce genre de choses : Ce sera du même ordre."
Mais le développeur a insisté sur la durée de vie et l'histoire de l'univers du jeu.
"Un de nos grands buts de de rendre le jeu vraiment, vraiment jouable. De la même manière que dans un jeu de course, vous faites le mode histoire, mais il y a encore beaucoup de choses à débloquer et à jouer, des défis et des choses à faire."
"Nous faisons beaucoup ça avec notre conception des environnements... Au centre de la carte sur laquelle je viens de jouer, il y a un énorme navire nommé Hope [Espoir], qui est un ancien bateau chimique, et il y a toute une histoire derrière ce navire. Et plus vous jouez à travers cette carte, plus vous jouez à travers les environnements, et plus vous devenez conscient de cette histoire et de tout ce qui se passe."
"Il y a vraiment une récompense à l'exploration, plutôt qu'à jouer juste au jeu une fois."
Étant donné que les cartes seront semble-t-il partagées entre le solo et le multijoueur, cela devrait donner l'occasion aux amateurs de narration de sauter le pas pour continuer en ligne.
Brink est prévu pour arriver au printemps sur PC, PS3 et Xbox 360. Et d'après ce qui était présenté à la Gamescom, le jeu est très prometteur.
Source:Gamers.fr
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
Splash Damage parle du solo et de la PS3
Dévoilé lors de l'E3 2009, BRINK, le nouveau shooter de Splash Damage, se propose notamment de révolutionner le multi. Pour autant, le solo ne sera pas laissé de côté.
En effet, Paul Wedgwood, patron du studio, a déclaré à ce propos :
« Il est énorme. C'est un jeu qui dès le début a été bâti sur une histoire profondément marquée par la narration grâce des écrivains à plein temps. Nous utilisons des techniques telles que la « capture de performance » ? nous avons ainsi obtenu de bonnes performances physiques d'acteurs comprenant leurs expressions faciales, leurs voix ainsi que des interactions avec d'autres acteurs ? afin de mettre sur pied un jeu qui soit vraiment doté d'une forte composante narrative et qui ne soit pas qu'un simple shooter bénéficiant d'une grande rejouabilité. »
Par le passé, Splash Damage était tout entier tourné vers le jeu sur PC, quid du développement de BRINK sur consoles, notamment sur PlayStation 3? Sans ambages, Paul Wedgwood déclare : « En tant que game director, il existe pour moi des choses qui sont tout simplement étranges comme la technologie de la PlayStation 3 ». Des propos inquiétants ? Pas forcément puisque Splash Damage compte dans ses rangs Dean Calver et Neil Alphonso, respectivement lead programmer sur Heavenly Sword et lead level designer sur Killzone 2.
Source:Playfrance
Dévoilé lors de l'E3 2009, BRINK, le nouveau shooter de Splash Damage, se propose notamment de révolutionner le multi. Pour autant, le solo ne sera pas laissé de côté.
En effet, Paul Wedgwood, patron du studio, a déclaré à ce propos :
« Il est énorme. C'est un jeu qui dès le début a été bâti sur une histoire profondément marquée par la narration grâce des écrivains à plein temps. Nous utilisons des techniques telles que la « capture de performance » ? nous avons ainsi obtenu de bonnes performances physiques d'acteurs comprenant leurs expressions faciales, leurs voix ainsi que des interactions avec d'autres acteurs ? afin de mettre sur pied un jeu qui soit vraiment doté d'une forte composante narrative et qui ne soit pas qu'un simple shooter bénéficiant d'une grande rejouabilité. »
Par le passé, Splash Damage était tout entier tourné vers le jeu sur PC, quid du développement de BRINK sur consoles, notamment sur PlayStation 3? Sans ambages, Paul Wedgwood déclare : « En tant que game director, il existe pour moi des choses qui sont tout simplement étranges comme la technologie de la PlayStation 3 ». Des propos inquiétants ? Pas forcément puisque Splash Damage compte dans ses rangs Dean Calver et Neil Alphonso, respectivement lead programmer sur Heavenly Sword et lead level designer sur Killzone 2.
Source:Playfrance
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
toujours des paroles des paroles .... a quand du ingame ?
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
Ce développeur ressemble étrangement à un autre,même un peu de vidéos sans phases in game ça ne serait pas mal pour nous faire patienter!.
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
j'avou! la on as meme pas un trailer officiel ...
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
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Les avis des internautes
1 BONNE RAISON D'Y JOUER
L'avis de : Anonyme
Très bon
Je joue sur pc avec la dernière carte graphique nvidia (gtx580) et un écran 27" donc je pense être capable de dire ce qu'il en ressort graphiquement du jeu (sur pc) et je le trouve honnêtement plutôt pas mal. Je ne dis pas qu'il est à la pointe de ce qu'on peut avoir aujourd'hui mais ça reste très raisonnable.
Pour le game play, je l'ai trouvé plutôt innovant. On a la
suite ... possibilité de sauter un peu partout sur les murs etc assez facilement. De plus trois types de classes sont présentes : en gros, le bourrin qui porte des armes lourdes mais qui se déplacent plutôt lentement et à son inverse un type léger qui se déplace plus vite et porte des armes plus légères. Entre les deux une classe moyenne.
Pour ce qui est du solo, je comprend que certains puissent être déçus, mais si vous l'êtes c'est que vous n'avez rien compris. Le solo est juste la en tant que bonus ou si vous avez une perte de connexion à la limite. C'est comme si on faisait du counter strike avec des bots ( wahou ).
Le multi, plusieurs types de jeux (Objectif, Campagne, Chrono ) peut être un peu trop ressemblants selon moi mais j'aime beaucoup le fait d'accomplir des objectifs. D'autant plus qu'a chaque objectif chaque classe n'a pas le même but c'est à dire par exemple l'opérateur doit pirater une console alors que les autres classes devront protéger la console. N'ayez pas peur de ne rien comprendre le jeux est plutôt intuitif.
Les défis ; Peut être que je n'ai pas tout débloquer je ne suis pas sur mais seulement 4 défis s'offrent à moi. Ils sont plutôt marrants mais sont sans grand intérêt dans le fond si ce n'est pour débloquer équipements accessoires ou fringues/armures.
En conclusion j'aime vraiment le jeux que je trouve très addictif notamment grâce au grand nombre d'objets possibles à débloquer permettant de personnaliser et améliorer ses armes ou encore de nombreux atouts.
Après avoir lu pas mal de postes, les joueurs sur consoles semblent plus souvent déçus contrairement à ceux qui jouent sur pc. Je conseil donc à tout futur acheteur de jouer sur la meilleure des consoles pour jouer à tout fps : le pc.
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