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Just Cause 2
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Sauvegarde...
Honnetement quand tu remets Just Cause 1 meme aujourd hui encore les effets sont bluffant, bon plus trop le sol de pres mais quand t'est a des km dans le ciel en chute libre et que tu vois toute l'ile et la mer d'en haut c'est bluffant.
Le 2 je me fais pas de soucis. Yohann le 1 t'as la demo encore sur le Live.
Le 2 je me fais pas de soucis. Yohann le 1 t'as la demo encore sur le Live.
Mes jeux du moment :
The Walking Dead : Saison 2, Rain, Shin Megami Tensei : Devil Summoner : Soul Hackers
The Walking Dead : Saison 2, Rain, Shin Megami Tensei : Devil Summoner : Soul Hackers
Sauvegarde...
M'enfin si différence il y a, il est clair qu'elle ne sera pas non plus énorme ... Elles en ont dans le coffre la Xbox 360 et la Playstation 3.
Edité le 30/10/2009 à 11:59
Edité le 30/10/2009 à 11:59
Message edité le 30/10/2009 à 12:01Message supprimé le 30/10/2009 à 12:01.
Mes jeux du moment :
The Walking Dead : Saison 2, Rain, Shin Megami Tensei : Devil Summoner : Soul Hackers
The Walking Dead : Saison 2, Rain, Shin Megami Tensei : Devil Summoner : Soul Hackers
Sauvegarde...
perso fin 2009 il y a AC2, MW2, the saboteur, blur à suivre et si on compte octobre en fin d'année il y avait borderlands, brutal legend pes ou fifa, operation flashpoint ça fait quand même pas mal de jeux et niveau sous faut suivre
Edité le 30/10/2009 à 14:40
Edité le 30/10/2009 à 14:40
Sauvegarde...
Dans le premier ils étaient pilotables donc oui il y a des chances qu'ils le soient aussi dans celui la
Sauvegarde...
bien sympa l'interactivité j'espère ça sera pas lassant à la longue en tout cas pas mal de défaut ont été gommés et il est magnifique
Sauvegarde...
Bah si c'est lassant tu peux juste la jouer "shooter" classique.
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
c'est sur mais au moins dans celui la si on shoot ça sera pas déroutant vu les améliorations j'attends aussi de voir la conduite
Sauvegarde...
Preview
Apparu à l'automne 2006, le premier Just Cause avait su épater à l'époque par l'immensité de son terrain de jeu et les nombreuses cascades dont était friand son héros. Malheureusement, coincés entre deux générations de console, les développeurs d'Avalanche Studios s'étaient pas mal éparpillés, ce qui ne manqua pas de rendre leur titre fragile entre un contenu trop pauvre et des soucis de maniabilité. Trois ans plus tard, le sanguin Rico est prêt à faire son comeback dans un Just Cause 2 sur lequel nous avons pu mettre notre grappin en avant-première.
Tombé dans le Panau
Après avoir bien fichu le bazar à San Esperito, Rico s'envole à présent pour un groupe d'îles imaginaires situées cette fois-ci en Asie : l'archipel de Panau. Premier constat en survolant les lieux aux commandes d'un petit avion de fortune : les environnements sont bien plus variés que dans le premier Just Cause.
Plages paradisiaques, jungle verdoyante, villes chargées de buildings utlra modernes, chaîne montagneuse enneigée, déserts ocres et arides... Avalanche Studios a bien tiré des leçons de la monotonie étouffante de San Esperito. Si l'aire de jeu de Just Cause 2 s'étale donc toujours sur 1024 km², le résultat paraît bien plus probant et à même de séduire les touristes adeptes de free roaming. Mais, outre cette variété fort appréciable, les développeurs ont également cherché à densifier sensiblement l'aventure, histoire que l'on ait toujours de quoi s'occuper dans cette contrée si vaste.
La campagne principale est donc désormais composée de cinquante missions pour une durée de vie estimée, au minimum, à vingt-cinq heures. Mais, bien sûr, celle-ci sera accompagnée d'une foule de missions secondaires, d'objets secrets à découvrir et autres réjouissances capables d'accaparer les joueurs les plus curieux pendant, nous dit-on, une centaine d'heures. A titre d'exemple, chaque village de l'archipel cache désormais des bonus et des bâtiments "stratégiques" à détruire. En les fouillant bien et en prenant soin de dégommer les cibles indiquées, on pourra ainsi récolter de l'argent, mais aussi des upgrades pour ses armes et armures ainsi que des points Chaos qui prouveront notre valeur et débloqueront au fur et à mesure les missions principales.
Rico Dangerous
En bon GTA-like, Just Cause 2 permet donc au joueur une exploration totalement libre de sa carte, sans aucune contrainte, et aux commandes d'une centaine de véhicules différents : voitures, deux-roues, hélicoptères, avions et bateaux. Heureusement pour nos nerfs et l'intérêt du jeu, la maniabilité de tous ces engins a été sérieusement retravaillée pour se révéler, d'après ce que nous avons pu voir, plus variée d'une part, mais également plus souple et agréable.
Dans le même ordre d'idée, les développeurs ont repensé l'usage du combo parachute/grappin pour offrir aux foufous et aux sadiques encore plus de possibilités. On peut s'accrocher à n'importe quel véhicule, prendre de l'élan en agrippant simplement un cocotier au loin, filer sur les toits tel Spider-Man, faire du base-jumping, du parachute ascensionnel... Rico ne recule devant rien pour prouver son sang-froid et son sens du spectacle.
Mais, en plus de toutes ces options de déplacement qui donnent aux missions une physionomie radicalement différente, le grappin servira aussi lors de combats. Si l'arsenal disponible est déjà bien développé (pistolets, mitrailleuses, lance-roquettes, fusil de sniper...), Rico pourra également s'amuser avec ses proies en les attachant violemment entre elles ou encore en les accrochant à quinze mètres du sol au clocher d'une église. Les vidéos diffusées par Square Enix Europe ces derniers temps présentent d'ailleurs largement toutes ces subtilités de salopard qui, manette en main, se révèlent relativement faciles à réaliser.
Enrichi, développé, repensé, Just Cause 2 semble bien parti pour combler pas mal de lacunes de son aîné et proposer au final une aventure plus variée et explosive. De la libération d'un village paumé dans la campagne à l'attaque d'une base militaire bardée de soldats, nous avons pu constater les progrès réalisés par Avalanche Studios et découvrir un gameplay aussi fun que spectaculaire.
En outre, le jeu profite d'une réalisation très solide, avec des graphismes détaillés, travaillés et joliment enrobés d'effets spéciaux crédibles, capables de poser une belle ambiance. Bref, pour l'heure, Rico a de quoi faire le fier, ses nouvelles péripéties paraissent prêtes à surprendre et détoner en février 2010, date de sortie pressentie pour le jeu.
Source:Gamekult
Apparu à l'automne 2006, le premier Just Cause avait su épater à l'époque par l'immensité de son terrain de jeu et les nombreuses cascades dont était friand son héros. Malheureusement, coincés entre deux générations de console, les développeurs d'Avalanche Studios s'étaient pas mal éparpillés, ce qui ne manqua pas de rendre leur titre fragile entre un contenu trop pauvre et des soucis de maniabilité. Trois ans plus tard, le sanguin Rico est prêt à faire son comeback dans un Just Cause 2 sur lequel nous avons pu mettre notre grappin en avant-première.
Tombé dans le Panau
Après avoir bien fichu le bazar à San Esperito, Rico s'envole à présent pour un groupe d'îles imaginaires situées cette fois-ci en Asie : l'archipel de Panau. Premier constat en survolant les lieux aux commandes d'un petit avion de fortune : les environnements sont bien plus variés que dans le premier Just Cause.
Plages paradisiaques, jungle verdoyante, villes chargées de buildings utlra modernes, chaîne montagneuse enneigée, déserts ocres et arides... Avalanche Studios a bien tiré des leçons de la monotonie étouffante de San Esperito. Si l'aire de jeu de Just Cause 2 s'étale donc toujours sur 1024 km², le résultat paraît bien plus probant et à même de séduire les touristes adeptes de free roaming. Mais, outre cette variété fort appréciable, les développeurs ont également cherché à densifier sensiblement l'aventure, histoire que l'on ait toujours de quoi s'occuper dans cette contrée si vaste.
La campagne principale est donc désormais composée de cinquante missions pour une durée de vie estimée, au minimum, à vingt-cinq heures. Mais, bien sûr, celle-ci sera accompagnée d'une foule de missions secondaires, d'objets secrets à découvrir et autres réjouissances capables d'accaparer les joueurs les plus curieux pendant, nous dit-on, une centaine d'heures. A titre d'exemple, chaque village de l'archipel cache désormais des bonus et des bâtiments "stratégiques" à détruire. En les fouillant bien et en prenant soin de dégommer les cibles indiquées, on pourra ainsi récolter de l'argent, mais aussi des upgrades pour ses armes et armures ainsi que des points Chaos qui prouveront notre valeur et débloqueront au fur et à mesure les missions principales.
Rico Dangerous
En bon GTA-like, Just Cause 2 permet donc au joueur une exploration totalement libre de sa carte, sans aucune contrainte, et aux commandes d'une centaine de véhicules différents : voitures, deux-roues, hélicoptères, avions et bateaux. Heureusement pour nos nerfs et l'intérêt du jeu, la maniabilité de tous ces engins a été sérieusement retravaillée pour se révéler, d'après ce que nous avons pu voir, plus variée d'une part, mais également plus souple et agréable.
Dans le même ordre d'idée, les développeurs ont repensé l'usage du combo parachute/grappin pour offrir aux foufous et aux sadiques encore plus de possibilités. On peut s'accrocher à n'importe quel véhicule, prendre de l'élan en agrippant simplement un cocotier au loin, filer sur les toits tel Spider-Man, faire du base-jumping, du parachute ascensionnel... Rico ne recule devant rien pour prouver son sang-froid et son sens du spectacle.
Mais, en plus de toutes ces options de déplacement qui donnent aux missions une physionomie radicalement différente, le grappin servira aussi lors de combats. Si l'arsenal disponible est déjà bien développé (pistolets, mitrailleuses, lance-roquettes, fusil de sniper...), Rico pourra également s'amuser avec ses proies en les attachant violemment entre elles ou encore en les accrochant à quinze mètres du sol au clocher d'une église. Les vidéos diffusées par Square Enix Europe ces derniers temps présentent d'ailleurs largement toutes ces subtilités de salopard qui, manette en main, se révèlent relativement faciles à réaliser.
Enrichi, développé, repensé, Just Cause 2 semble bien parti pour combler pas mal de lacunes de son aîné et proposer au final une aventure plus variée et explosive. De la libération d'un village paumé dans la campagne à l'attaque d'une base militaire bardée de soldats, nous avons pu constater les progrès réalisés par Avalanche Studios et découvrir un gameplay aussi fun que spectaculaire.
En outre, le jeu profite d'une réalisation très solide, avec des graphismes détaillés, travaillés et joliment enrobés d'effets spéciaux crédibles, capables de poser une belle ambiance. Bref, pour l'heure, Rico a de quoi faire le fier, ses nouvelles péripéties paraissent prêtes à surprendre et détoner en février 2010, date de sortie pressentie pour le jeu.
Source:Gamekult
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
Skydiving & Combat Gameplay:
www.gametrailers.com...
Story & Design Interview:
www.gametrailers.com...
Edité le 13/11/2009 à 20:43
www.gametrailers.com...
Story & Design Interview:
www.gametrailers.com...
Edité le 13/11/2009 à 20:43
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
comme koin koin je sais pas si sa sera tjr aussi fun après 2 3 heures de jeu ,j'ai a peine regardé la vidéo que le grappin qui est cool rien a dire,me lasse deja un peu!!!!
faut voir
faut voir
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
Preview
Direction les locaux d'Eidos Games/Square Enix en région parisienne pour un tête-à-tête avec une version jouable de Just Cause 2. Nos premières impressions (c'est très beau et ça se veut plus diversifié que son ainé) évoquées à partir d'une présentation plus générale en mars dernier, vont-elles se confirmer ? L'occasion de vérifier la mise en pratique de ses belles promesses d'Avalanche, le développeur, et de reprendre contact avec Rico Rodriguez avant de se lancer dans une nouvelle aventure pleine de testostérone.
Comme le monde est grand
Rico Rodriguez reprend du service.
Le premier Just Cause avait enthousiasmé les joueurs par la taille de l'environnement et par la liberté d'action. Il avait également un peu déçu car s'était montré très répétitif et manquant singulièrement d'intérêt en dehors de la quête principale. Les développeurs ayant dû sortir le jeu un peu à la hâte après trois ans de production à l'époque, ces derniers ont décidé de se débarrasser de ce sentiment d'inachevé avec cette suite. Il sera toujours question d'incarner Rico Rodriguez, super-mercenaire chargé de déstabiliser un gouvernement pour le compte d'une agence privée, et il sera toujours question de profiter d'une carte immense de plus de 1 000 km² (avec gestion des points d'intérêts via un radar très détaillé, pour ne pas s'y perdre).
D'un point de vue technique, si son prédécesseur avait impressionné malgré quelques défauts, Just Cause 2 en met clairement plein les yeux. Profondeur de champ, finesse, effets visuels (qu'il s'agisse de la météo, du cycle jour/nuit en temps réel, ou encore des explosions et autres fumées), tout s'avère extrêmement flatteur pour la rétine ! L'Avalanche Engine 2.0, évolution du moteur de Just Cause premier du nom, fait des merveilles. Au-delà de la claque graphique, se sont aussi les animations et la physique qui font un bond en avant. Rico n'est plus rigide ni « robotique » dans ses déplacements, il en va de même pour tout individu qu'il croisera. Les véhicules disposent, eux, d'une inertie cohérente qui leur est propre. Terminée l'impression de conduire un camion aussi facilement qu'une voiture de sport !
Tout envoyer en l'air !
Au-delà des améliorations visuelles nécessaires à toute suite, c'est le contenu du titre et la façon dont il est servi au joueur, qui devait être revu à la hausse pour que la suite ne souffre pas des mêmes maux. Petit pitch de Just Cause 2 : l'ami et mentor de Rico, qui lui servait un peu de « Q » à la James Bond dans le premier volet, se fait la malle avec la base de données et une partie des finances de l'agence pour laquelle Rico bosse. Pour se planquer, il a choisi l'Ile de Panau, où il s'avère effectivement tranquille vu l'instabilité politique du territoire. Pour y voir plus clair et retrouver le traitre, Rico va devoir s'employer à réaliser ce qu'il sait faire de mieux : renverser le gouvernement en place. Hé hop, direction Panau et début du jeu !
Renverser la dictature locale, ça passe avant tout par « foutre le souk » au niveau de l'organisation militaire et politique du gouvernement en place. Dégommer des leaders et saboter des installations seront, comme avec Just Cause premier du nom, au programme. Cependant, pour éviter une linéarité de l'action et pour la structurer, l'équipe d'Avalanche avait révélé la mise en place d'un système de chaos. Lors de cette nouvelle présentation, nous en apprenons un peu plus sur l'application du dit « système chaotique ».
Une mission peu ordinaire
Plus de diversité dans un jeu mieux structuré
Le « chaos » permet de sympathiser avec les trois factions rebelles de l'île. Un point-clé car ces dernières luttent aussi contre la dictature en place, mais s'opposent également entre elles. Fatalement, le moment viendra dans le cours du jeu où il faudra choisir laquelle aider de façon conséquente et s'attirer les foudres des autres. Avoir des alliés ne sera pas non plus de trop, car même si Rico Rodriguez est un mélange ultime de James Bond et de John Rambo, disposer d'un coup de pouce contre une cinquantaine d'ennemis n'est franchement pas de refus ! Une question se pose : pourra-t-on profiter d'alliés à recruter au hasard d'un bord de route à tout moment, ou devra-t-on attendre qu'un script de mission intervienne pour que l'on nous prête main forte ?
S'évertuer à tout casser, ça permet aussi de se faire beaucoup d'argent. Les rebelles de l'île considèrent que le gouvernement est affaibli par ce biais et vous rémunère en fonction des dégâts que vous causez, aussi bien en mission (qu'il s'agisse de la quête principale ou de tâches secondaires) qu'en dehors. Il ne s'agit donc plus de simplement libérer chaque bourgade de l'envahisseur, mais de coller une raclée à ce dernier. C'est le fil rouge du jeu. La variété des objectifs à détruire est aussi augmentée de façon significative. Pénétrer un silo de missile, une base aérienne, un fort militaire, etc. dont les configurations topographiques et d'encadrements sécuritaires diffèrent, cela permet de diversifier l'action.
Niko en a rêvé, Rico l'a fait : le plane-jacking
Rico ne se contente pas de tout casser. Même si la destruction est très addictive, autant par le rendu graphique que par les récompenses que cela amène (des armes et des véhicules uniques), elle ne résume pas seulement Just Cause 2. Il devra mettre à mal de nombreuses entités (50 colonels à dessouder - certains dans la quête principale, d'autres dans les annexes - mais aussi des ninjas des services secrets, etc.), en secourir d'autres ; bref contribuer à renverser le régime en place aussi par la stratégie politique (certes, une balle dans la tête des « méchants » et la liberté pour les « gentils » emprisonnés ce n'est pas super poussé comme plan, mais ça reste une stratégie politique !).
A ce titre, il dispose toujours d'armes très diversifiées, de son parachute et aussi d'un gadget très pratique : un grappin multitâches. Il pourra grimper sur les murs, s'élancer lui-même en parachute ascensionnel, attacher les ennemis au sol ou entre eux, s'agripper à un véhicule roulant ou volant... Tout ce qui est à portée donc ! D'ailleurs, le grappin renforce le caractère très « Remi Julienne » du soft ! La cascade est toujours à l'honneur et se montre même encore plus spectaculaire. En plein vol, on peut agripper un autre appareil volant au passage, en déloger les occupants (si c'est un véhicule militaire, les passagers s'éliminent simplement, le pilote se cogne au travers d'un petit « quick time event ») et se l'accaparer.
Un environnement au réalisme plus crédible qu'auparavant
Hormis le travail apporté sur le contenu du jeu et sur la qualité de l'environnement, il manque encore un paramètre à détailler : la diversité des décors et l'impression de vie qui s'en dégage. La civilisation de Panau se montre très crédible, avec des villes et villages éparpillés en fonction de l'habitabilité du secteur (aridité, relief, etc.) et un réseau routier qui semble réellement conçu pour s'adapter au plus logique en fonction de la distance ainsi que, là encore, du relief. Par exemple, Fuel (jeu de course édité par Codemasters) proposait 14 000 km² de terrain de jeu, mais un réseau routier exagérément complexe et diaboliquement incohérent. C'est un détail qui a son importance, Just Cause 2 donnant en effet l'impression d'évoluer sur une île à dimension humaine malgré sa grande taille : des montagnes, des déserts et des forêts où la population s'est installée au fur et à mesure de l'essor de la civilisation locale.
Notre dernière observation se montre un peu plus nuancée. En effet, pour notre première prise en main, le jeu se montre parfois brouillon. Certes, la prise en main des commandes basiques s'avère aisée ; mais dès qu'il faut tenter une cascade improbable dans le feu de l'action, ça devient beaucoup plus approximatif et le viseur semi-automatique manque encore de précision. Plus d'une fois, on exécute un mouvement qui n'est pas du tout celui escompté. Amusant parfois, régulièrement rageant (surtout que cela concerne les phases de jeu avec le parachute et le grappin, les deux éléments majeurs du gameplay lors des déplacements à pied) ! Avalanche dispose d'un délai encore large pour améliorer la jouabilité de Just Cause 2 d'ici février 2010. Hormis ce dernier reproche, le titre semble bel et bien parti pour gommer les lacunes de son aîné.
Source:Jeuxvideo.fr
Direction les locaux d'Eidos Games/Square Enix en région parisienne pour un tête-à-tête avec une version jouable de Just Cause 2. Nos premières impressions (c'est très beau et ça se veut plus diversifié que son ainé) évoquées à partir d'une présentation plus générale en mars dernier, vont-elles se confirmer ? L'occasion de vérifier la mise en pratique de ses belles promesses d'Avalanche, le développeur, et de reprendre contact avec Rico Rodriguez avant de se lancer dans une nouvelle aventure pleine de testostérone.
Comme le monde est grand
Rico Rodriguez reprend du service.
Le premier Just Cause avait enthousiasmé les joueurs par la taille de l'environnement et par la liberté d'action. Il avait également un peu déçu car s'était montré très répétitif et manquant singulièrement d'intérêt en dehors de la quête principale. Les développeurs ayant dû sortir le jeu un peu à la hâte après trois ans de production à l'époque, ces derniers ont décidé de se débarrasser de ce sentiment d'inachevé avec cette suite. Il sera toujours question d'incarner Rico Rodriguez, super-mercenaire chargé de déstabiliser un gouvernement pour le compte d'une agence privée, et il sera toujours question de profiter d'une carte immense de plus de 1 000 km² (avec gestion des points d'intérêts via un radar très détaillé, pour ne pas s'y perdre).
D'un point de vue technique, si son prédécesseur avait impressionné malgré quelques défauts, Just Cause 2 en met clairement plein les yeux. Profondeur de champ, finesse, effets visuels (qu'il s'agisse de la météo, du cycle jour/nuit en temps réel, ou encore des explosions et autres fumées), tout s'avère extrêmement flatteur pour la rétine ! L'Avalanche Engine 2.0, évolution du moteur de Just Cause premier du nom, fait des merveilles. Au-delà de la claque graphique, se sont aussi les animations et la physique qui font un bond en avant. Rico n'est plus rigide ni « robotique » dans ses déplacements, il en va de même pour tout individu qu'il croisera. Les véhicules disposent, eux, d'une inertie cohérente qui leur est propre. Terminée l'impression de conduire un camion aussi facilement qu'une voiture de sport !
Tout envoyer en l'air !
Au-delà des améliorations visuelles nécessaires à toute suite, c'est le contenu du titre et la façon dont il est servi au joueur, qui devait être revu à la hausse pour que la suite ne souffre pas des mêmes maux. Petit pitch de Just Cause 2 : l'ami et mentor de Rico, qui lui servait un peu de « Q » à la James Bond dans le premier volet, se fait la malle avec la base de données et une partie des finances de l'agence pour laquelle Rico bosse. Pour se planquer, il a choisi l'Ile de Panau, où il s'avère effectivement tranquille vu l'instabilité politique du territoire. Pour y voir plus clair et retrouver le traitre, Rico va devoir s'employer à réaliser ce qu'il sait faire de mieux : renverser le gouvernement en place. Hé hop, direction Panau et début du jeu !
Renverser la dictature locale, ça passe avant tout par « foutre le souk » au niveau de l'organisation militaire et politique du gouvernement en place. Dégommer des leaders et saboter des installations seront, comme avec Just Cause premier du nom, au programme. Cependant, pour éviter une linéarité de l'action et pour la structurer, l'équipe d'Avalanche avait révélé la mise en place d'un système de chaos. Lors de cette nouvelle présentation, nous en apprenons un peu plus sur l'application du dit « système chaotique ».
Une mission peu ordinaire
Plus de diversité dans un jeu mieux structuré
Le « chaos » permet de sympathiser avec les trois factions rebelles de l'île. Un point-clé car ces dernières luttent aussi contre la dictature en place, mais s'opposent également entre elles. Fatalement, le moment viendra dans le cours du jeu où il faudra choisir laquelle aider de façon conséquente et s'attirer les foudres des autres. Avoir des alliés ne sera pas non plus de trop, car même si Rico Rodriguez est un mélange ultime de James Bond et de John Rambo, disposer d'un coup de pouce contre une cinquantaine d'ennemis n'est franchement pas de refus ! Une question se pose : pourra-t-on profiter d'alliés à recruter au hasard d'un bord de route à tout moment, ou devra-t-on attendre qu'un script de mission intervienne pour que l'on nous prête main forte ?
S'évertuer à tout casser, ça permet aussi de se faire beaucoup d'argent. Les rebelles de l'île considèrent que le gouvernement est affaibli par ce biais et vous rémunère en fonction des dégâts que vous causez, aussi bien en mission (qu'il s'agisse de la quête principale ou de tâches secondaires) qu'en dehors. Il ne s'agit donc plus de simplement libérer chaque bourgade de l'envahisseur, mais de coller une raclée à ce dernier. C'est le fil rouge du jeu. La variété des objectifs à détruire est aussi augmentée de façon significative. Pénétrer un silo de missile, une base aérienne, un fort militaire, etc. dont les configurations topographiques et d'encadrements sécuritaires diffèrent, cela permet de diversifier l'action.
Niko en a rêvé, Rico l'a fait : le plane-jacking
Rico ne se contente pas de tout casser. Même si la destruction est très addictive, autant par le rendu graphique que par les récompenses que cela amène (des armes et des véhicules uniques), elle ne résume pas seulement Just Cause 2. Il devra mettre à mal de nombreuses entités (50 colonels à dessouder - certains dans la quête principale, d'autres dans les annexes - mais aussi des ninjas des services secrets, etc.), en secourir d'autres ; bref contribuer à renverser le régime en place aussi par la stratégie politique (certes, une balle dans la tête des « méchants » et la liberté pour les « gentils » emprisonnés ce n'est pas super poussé comme plan, mais ça reste une stratégie politique !).
A ce titre, il dispose toujours d'armes très diversifiées, de son parachute et aussi d'un gadget très pratique : un grappin multitâches. Il pourra grimper sur les murs, s'élancer lui-même en parachute ascensionnel, attacher les ennemis au sol ou entre eux, s'agripper à un véhicule roulant ou volant... Tout ce qui est à portée donc ! D'ailleurs, le grappin renforce le caractère très « Remi Julienne » du soft ! La cascade est toujours à l'honneur et se montre même encore plus spectaculaire. En plein vol, on peut agripper un autre appareil volant au passage, en déloger les occupants (si c'est un véhicule militaire, les passagers s'éliminent simplement, le pilote se cogne au travers d'un petit « quick time event ») et se l'accaparer.
Un environnement au réalisme plus crédible qu'auparavant
Hormis le travail apporté sur le contenu du jeu et sur la qualité de l'environnement, il manque encore un paramètre à détailler : la diversité des décors et l'impression de vie qui s'en dégage. La civilisation de Panau se montre très crédible, avec des villes et villages éparpillés en fonction de l'habitabilité du secteur (aridité, relief, etc.) et un réseau routier qui semble réellement conçu pour s'adapter au plus logique en fonction de la distance ainsi que, là encore, du relief. Par exemple, Fuel (jeu de course édité par Codemasters) proposait 14 000 km² de terrain de jeu, mais un réseau routier exagérément complexe et diaboliquement incohérent. C'est un détail qui a son importance, Just Cause 2 donnant en effet l'impression d'évoluer sur une île à dimension humaine malgré sa grande taille : des montagnes, des déserts et des forêts où la population s'est installée au fur et à mesure de l'essor de la civilisation locale.
Notre dernière observation se montre un peu plus nuancée. En effet, pour notre première prise en main, le jeu se montre parfois brouillon. Certes, la prise en main des commandes basiques s'avère aisée ; mais dès qu'il faut tenter une cascade improbable dans le feu de l'action, ça devient beaucoup plus approximatif et le viseur semi-automatique manque encore de précision. Plus d'une fois, on exécute un mouvement qui n'est pas du tout celui escompté. Amusant parfois, régulièrement rageant (surtout que cela concerne les phases de jeu avec le parachute et le grappin, les deux éléments majeurs du gameplay lors des déplacements à pied) ! Avalanche dispose d'un délai encore large pour améliorer la jouabilité de Just Cause 2 d'ici février 2010. Hormis ce dernier reproche, le titre semble bel et bien parti pour gommer les lacunes de son aîné.
Source:Jeuxvideo.fr
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
surement en occaz pour moi , je le trouve trop rapide car c'est toujours tirer ,sauter,parachutter ,grappiner ,tuer ,sauter,...
faut voir le test quoi!
faut voir le test quoi!
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Page 5 sur 17 / Total : 336 résultats
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Le test
Les +
- Île de Panao immense et visuellement très réussie
- Richesse des environnements proposés
- Liberté d'action totale
- Très bonne durée de vie
- Association grappin + parachute
Les -
- Prise en main qui demande un temps d'adaptation
- Des défis et missions qui manquent de variété
- Quelques petits soucis techniques
- Voix françaises une fois encore à la ramasse
Partenaires Jeuxvideo.fr
Idées cadeaux JV
La vidéo à ne pas manquer
Les avis des internautes
1 BONNE RAISON D'Y JOUER
L'avis de : Anonyme
Bon
Niiiiice
Super jeu,
Jai joue 25-30h dessus et jme suis trop eclate...
qques soucis cependant, comme le fait quil soit TRES TRES lineire (on fait tjrs le meme type de mission)
Jeu super fendrard, mais plutot pour passer le temps quand on veut seclater a foutre le dawa dans l'ile et seclater avec les avions helicos, etc.
autre souci : le temps dadaptation... les 2-3 premier
suite ... es heures sont aps super kiffantes pke faut shabituer au grappin parachute
mais sinon c que du bon !
Allez Paris SG
Vos top 3 de la semaine
Vous aimez
Vous débattez de
Vous attendez
L'univers du cosplay
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