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The Saboteur
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Sauvegarde...
Preview
Poussé par buzz bien mené et aidé par quelques désistements de dernière minute, The Saboteur a fini par devenir un jeu assez attendu de cette fin d'année 2009. Il faut dire que sur le papier, le bougre a de quoi séduire avec cet intrigant mélange entre Grand Theft Auto et Assassin's Creed en plein coeur d'un Paris occupé par les nazis. C'est donc plein d'entrain que l'on a suivi Christopher Hunt, directeur artistique chez Pandemic Studios, pour un petit circuit touristique entre Montmartre et la place de la Concorde avec à la clé quelques frayeurs et beaucoup de grabuge.
Après deux épisodes sérieusement déclinants de Mercenaries, Pandemic Studios change radicalement de décor en squattant la France pendant l'occupation nazie. Mais, en dépit de ce cadre réaliste inhabituel pour le studio californien, The Saboteur ne semble pas parti pour explorer un gameplay bien différent de celui de leur précédente série.
C'est donc face à un GTA-like somme toute classique que l'on se retrouve avec pour bac à sable un Paris habillé de croix gammées et chargé de vils nazis prêts à se faire dégommer par notre héros, Sean Devlin, un pilote de course fricotant désormais avec la Résistance. Une aire de jeu vaste, des missions principales et secondaires à exécuter comme bon nous semble, des véhicules à emprunter d'un clic... Tous les ingrédients classiques du genre sont réunis pour l'occasion avec cependant une petite subtilité piquée à Assassin's Creed : la possibilité d'escalader le moindre bâtiment pour jouer au funambule sur les toits parisiens. Hélas, le fossé séparant la copie de l'original semble assez béant. A la fois rigides et manquant cruellement de rythme et de naturel, ces phases de Parkour ont, pour l'heure, bien du mal à convaincre.
Elles sont, qui plus est, à l'origine d'une ré-interprétation extrêmement libre de l'architecture de notre bonne vieille capitale pour les besoins du level design - de quoi fâcher les fans du baron Haussmann pour un bout de temps. En outre, la réalisation de The Saboteur semble aujourd'hui bien moins aguichante qu'auparavant avec notamment des textures d'une finesse discutable et des animations bien saccadées. On se gardera toutefois de tout jugement définitif sur cet aspect, même s'il semble d'ores et déjà acquis que le volet technique ne sera pas une des forces du jeu.
A l'image de ce qu'essayait de faire Mercenaries à l'époque, The Saboteur cherche à proposer une aventure variée, fun et sans prise de tête. N'en déplaise à Alain Decaux, le jeu aborde donc le contexte historique choisi avec une légèreté certaine en transformant le Paris occupé en terrain de jeu pour grand enfant et en n'hésitant pas à faire passer l'action de la Résistance pour une véritable guérilla urbaine.
The Saboteur donne ainsi lieu à des combats violents et explosifs, capables de mobiliser des dizaines de nazis armés jusqu'aux dents, avec un système d'alerte équivalent aux étoiles de police dans GTA. L'I.A. qui les dirige n'est pas forcément des plus finaudes, mais cela n'empêche pas le jeu de délivrer une bonne grosse dose d'action, qui plus est dans un cadre familier, peu ou prou, ce qui pimente inévitablement les choses.
Oui, faire cramer un SS à l'aide d'un lance-flamme sur les marches de l'église de la Madeleine titille forcément le patriote sadique qui sommeille au fond de nous. Mais The Saboteur saura aussi nous faire voir du pays et nous faire sortir de la capitale vers la Champagne-Ardennes, la Lorraine et même l'Allemagne.
On imagine donc une aventure assez longue et riche, surtout dans la mesure où elle devrait pas mal d'à-côtés : courses de voitures, contre-bande, séduction de petites françaises ou encore sabotage d'installations ennemies. Si l'enthousiasme pour The Saboteur est quelque peu retombé avec cette nouvelle rencontre, l'envie, teintée de curiosité, de découvrir la version finale du jeu est toujours intacte. Espérons qu'il nous réservera quelques bonnes surprises lors de sa sortie, prévue dans un mois maintenant.
Source:Gamekult
Poussé par buzz bien mené et aidé par quelques désistements de dernière minute, The Saboteur a fini par devenir un jeu assez attendu de cette fin d'année 2009. Il faut dire que sur le papier, le bougre a de quoi séduire avec cet intrigant mélange entre Grand Theft Auto et Assassin's Creed en plein coeur d'un Paris occupé par les nazis. C'est donc plein d'entrain que l'on a suivi Christopher Hunt, directeur artistique chez Pandemic Studios, pour un petit circuit touristique entre Montmartre et la place de la Concorde avec à la clé quelques frayeurs et beaucoup de grabuge.
Après deux épisodes sérieusement déclinants de Mercenaries, Pandemic Studios change radicalement de décor en squattant la France pendant l'occupation nazie. Mais, en dépit de ce cadre réaliste inhabituel pour le studio californien, The Saboteur ne semble pas parti pour explorer un gameplay bien différent de celui de leur précédente série.
C'est donc face à un GTA-like somme toute classique que l'on se retrouve avec pour bac à sable un Paris habillé de croix gammées et chargé de vils nazis prêts à se faire dégommer par notre héros, Sean Devlin, un pilote de course fricotant désormais avec la Résistance. Une aire de jeu vaste, des missions principales et secondaires à exécuter comme bon nous semble, des véhicules à emprunter d'un clic... Tous les ingrédients classiques du genre sont réunis pour l'occasion avec cependant une petite subtilité piquée à Assassin's Creed : la possibilité d'escalader le moindre bâtiment pour jouer au funambule sur les toits parisiens. Hélas, le fossé séparant la copie de l'original semble assez béant. A la fois rigides et manquant cruellement de rythme et de naturel, ces phases de Parkour ont, pour l'heure, bien du mal à convaincre.
Elles sont, qui plus est, à l'origine d'une ré-interprétation extrêmement libre de l'architecture de notre bonne vieille capitale pour les besoins du level design - de quoi fâcher les fans du baron Haussmann pour un bout de temps. En outre, la réalisation de The Saboteur semble aujourd'hui bien moins aguichante qu'auparavant avec notamment des textures d'une finesse discutable et des animations bien saccadées. On se gardera toutefois de tout jugement définitif sur cet aspect, même s'il semble d'ores et déjà acquis que le volet technique ne sera pas une des forces du jeu.
A l'image de ce qu'essayait de faire Mercenaries à l'époque, The Saboteur cherche à proposer une aventure variée, fun et sans prise de tête. N'en déplaise à Alain Decaux, le jeu aborde donc le contexte historique choisi avec une légèreté certaine en transformant le Paris occupé en terrain de jeu pour grand enfant et en n'hésitant pas à faire passer l'action de la Résistance pour une véritable guérilla urbaine.
The Saboteur donne ainsi lieu à des combats violents et explosifs, capables de mobiliser des dizaines de nazis armés jusqu'aux dents, avec un système d'alerte équivalent aux étoiles de police dans GTA. L'I.A. qui les dirige n'est pas forcément des plus finaudes, mais cela n'empêche pas le jeu de délivrer une bonne grosse dose d'action, qui plus est dans un cadre familier, peu ou prou, ce qui pimente inévitablement les choses.
Oui, faire cramer un SS à l'aide d'un lance-flamme sur les marches de l'église de la Madeleine titille forcément le patriote sadique qui sommeille au fond de nous. Mais The Saboteur saura aussi nous faire voir du pays et nous faire sortir de la capitale vers la Champagne-Ardennes, la Lorraine et même l'Allemagne.
On imagine donc une aventure assez longue et riche, surtout dans la mesure où elle devrait pas mal d'à-côtés : courses de voitures, contre-bande, séduction de petites françaises ou encore sabotage d'installations ennemies. Si l'enthousiasme pour The Saboteur est quelque peu retombé avec cette nouvelle rencontre, l'envie, teintée de curiosité, de découvrir la version finale du jeu est toujours intacte. Espérons qu'il nous réservera quelques bonnes surprises lors de sa sortie, prévue dans un mois maintenant.
Source:Gamekult
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Sauvegarde...
Open World Walkthrough Part I:
www.gametrailers.com...
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Sauvegarde...
C'est moi ou il y a bien des montagnes au fond ? :op,le graphisme n'a vraiment pas l'air d'être au top niveau...
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Sauvegarde...
The Saboteur gonfle sa durée de vie
Dans une interview visible sur le blog PlayStation officiel, Tom French, lead designer de The Saboteur, estime que la durée de vie du soft tourne autour des 20-25 heures de jeu, et ce uniquement pour suivre la trame principale. D'après lui, il faut compter 5 heures de plus pour les missions annexes. Problème : en juin dernier, le même bonhomme déclarait que l'histoire principale se bouclait en 12-18 heures. Deux solutions : soit Pandemic a revu sa copie pour augmenter le contenu du jeu, soit Tom French a revu son discours... Quoi qu'il en soit, que The Saboteur se boucle en 12 ou 25 heures, ça reste une durée de vie très correcte pour un jeu d'action-infiltration.
Source:Jeuxvideo.com
Dans une interview visible sur le blog PlayStation officiel, Tom French, lead designer de The Saboteur, estime que la durée de vie du soft tourne autour des 20-25 heures de jeu, et ce uniquement pour suivre la trame principale. D'après lui, il faut compter 5 heures de plus pour les missions annexes. Problème : en juin dernier, le même bonhomme déclarait que l'histoire principale se bouclait en 12-18 heures. Deux solutions : soit Pandemic a revu sa copie pour augmenter le contenu du jeu, soit Tom French a revu son discours... Quoi qu'il en soit, que The Saboteur se boucle en 12 ou 25 heures, ça reste une durée de vie très correcte pour un jeu d'action-infiltration.
Source:Jeuxvideo.com
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Sauvegarde...
Tom french ? c'est quoi ce vieu pseudonyme ...
au passage 25h pour la quete principal et 5 pour les quetes annexes ca me semble pas logique, en général c'est plutot l'inverse
au passage 25h pour la quete principal et 5 pour les quetes annexes ca me semble pas logique, en général c'est plutot l'inverse
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Sauvegarde...
Ya une preview du jeu à partir d'une version complète du jeu. Ca a l'air pas mal du tout : un de mes prochains achats je pense :
www.playfrance.com...
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Sauvegarde...
The Saboteur est teinté d'or !
Malgré la situation très difficile dans laquelle se trouve Pandemic Studios, ce n'est pas pour autant que leur jeu, The Saboteur, voit son développement annulé. Au contraire, le développement du titre est terminé.
En effet, le site officiel du jeu vient de d'afficher le message suivant annonçant que le titre passait Gold et qu'il serait bientôt envoyé dans les usines de production :
"Cela a été une semaine très difficile pour Pandemic Studios, mais cela ne change rien au fait que la fantastique équipe a bossé très dure afin de faire de The Saboteur un très bon jeu pour les fans qui pourront se régaler cet hiver."
En espérant que le jeu soit réussi et qu'il permette aux joueurs de garder un bon souvenir de Pandemic Studios.
Source:UltimatePS3
Malgré la situation très difficile dans laquelle se trouve Pandemic Studios, ce n'est pas pour autant que leur jeu, The Saboteur, voit son développement annulé. Au contraire, le développement du titre est terminé.
En effet, le site officiel du jeu vient de d'afficher le message suivant annonçant que le titre passait Gold et qu'il serait bientôt envoyé dans les usines de production :
"Cela a été une semaine très difficile pour Pandemic Studios, mais cela ne change rien au fait que la fantastique équipe a bossé très dure afin de faire de The Saboteur un très bon jeu pour les fans qui pourront se régaler cet hiver."
En espérant que le jeu soit réussi et qu'il permette aux joueurs de garder un bon souvenir de Pandemic Studios.
Source:UltimatePS3
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Sauvegarde...
un peu vide les rues ,mais une très grande map ,en plus le type qui se la joue assassin's creed sa peu rallonger la durée de vie!
pas trop moche !!!
surement un jeu pour moi ça!!!!
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Sauvegarde...
Un bel accueil chez IGN
La première note pour The Saboteur vient de tomber et c'est IGN qui lance le bal avec un verdict plutôt satisfaisant pour le nouveau titre d'EA Games.
Paris. Combien de joueurs rêvaient d'un jeu vidéo prenant place dans la capitale française, sa tour Eiffel, ses quartiers et son ambiance ? Electronic Arts vient (une nouvelle fois ?) à la rescousse des joueurs en se portant volontaire pour nous proposer un nouveau titre prometteur : The Saboteur.
Prenant place dans le Paris de la Seconde Guerre Mondiale, c'est aux héros de l'ombre qu'Electronic Arts vient rendre hommage. Officiellement prévu pour le 4 décembre en France, IGN a pu s'essayer au jeu pour nous livrer un premier verdict en exclusivité mondiale.
Et c'est un premier bilan positif qui anime l'équipe de rédaction d'IGN puisque c'est un 8,2/10 qui est décerné au titre. Selon le testeur, le gameplay et le style graphique sont très satisfaisant, tout comme les autres points pris en compte dans le test (présentation, bande son, etc.)
The Saboteur sera disponible dans nos rayons le 4 décembre, l'occasion pour tous les nostalgiques de se replonger une nouvelle fois dans l'ambiance de la Seconde Guerre Mondiale, mais cette fois à travers un point de vue inédit.
Source:PS3GEN
La première note pour The Saboteur vient de tomber et c'est IGN qui lance le bal avec un verdict plutôt satisfaisant pour le nouveau titre d'EA Games.
Paris. Combien de joueurs rêvaient d'un jeu vidéo prenant place dans la capitale française, sa tour Eiffel, ses quartiers et son ambiance ? Electronic Arts vient (une nouvelle fois ?) à la rescousse des joueurs en se portant volontaire pour nous proposer un nouveau titre prometteur : The Saboteur.
Prenant place dans le Paris de la Seconde Guerre Mondiale, c'est aux héros de l'ombre qu'Electronic Arts vient rendre hommage. Officiellement prévu pour le 4 décembre en France, IGN a pu s'essayer au jeu pour nous livrer un premier verdict en exclusivité mondiale.
Et c'est un premier bilan positif qui anime l'équipe de rédaction d'IGN puisque c'est un 8,2/10 qui est décerné au titre. Selon le testeur, le gameplay et le style graphique sont très satisfaisant, tout comme les autres points pris en compte dans le test (présentation, bande son, etc.)
The Saboteur sera disponible dans nos rayons le 4 décembre, l'occasion pour tous les nostalgiques de se replonger une nouvelle fois dans l'ambiance de la Seconde Guerre Mondiale, mais cette fois à travers un point de vue inédit.
Source:PS3GEN
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Sauvegarde...
DLC dispo pour les acheteurs
[Electronic arts a trouvé un bon moyen pour vous convaincre d'acheter le Saboteur en neuf : tout simplement en rajoutant un code dans la boite du jeu vous permettant de télécharger le DLC "The Midnight Show" . Si vous achetez votre jeux d'occasion et que le code a déjà servi, vous pourrez toujours récupérer le DLC mais il vous coutera 400 Microsoft Points.
[Le pack sera disponible le jour de la sortie du jeu (c'est à dire demain) et contiendra de nouvelles cachettes dans Paris, un nouveau mini-jeu et l'option pour débloquer la nudité dans le jeu.
Source:Gamers.fr
Vidéo: Premières impressions
Cliquez ICI pour voir la vidéo
Test complet
Des titres se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale, ce n'est pas ce qui manque dans l'histoire des jeux vidéo, notamment dans les catégories du FPS, de la stratégie ou de la simulation de combat aérien. On y incarne la plupart du temps des soldats envoyés au front pour libérer la France, mais plus rarement un résistant irlandais, mécanicien, pilote de course et homme à femmes. C'est ce qu'ont dû se dire les équipes de feu-Pandemic avant de concevoir The Saboteur, jeu testament du studio américain nous ayant habitué à des aventures aussi explosives que sans finesse avec leurs séries Destroy All Humans et Mercenaries. En transposant les formules d'Assassin's Creed et de Grand Theft Auto dans le Paris des années 40, les développeurs vont-ils réussir à gagner la guerre ?
C'est chaud, Sarrebruck
[Sean Devlin représente ce que l'on peut appeler un homme aux plaisirs simples. Originaire des vertes contrées d'Irlande, il aime boire des coups et en tirer, griller des brunes et ses concurrents au volant de voitures de compétition, mais aussi passer des moments joyeux avec Jules, son meilleur pote, Véronique, la soeur de son ami et Vittore, à la fois coach et père adoptif. D'une nature un peu sanguine, Sean n'a pas vraiment apprécié de se faire voler une victoire acquise au grand prix de Sarrebruck par Dierker, un pilote allemand vaniteux, tricheur et nazi de surcroît.
[ Après la course et avec l'aide de son Jules, il décide donc d'aller faire visiter le fond d'un précipice au bolide de son concurrent déloyal pour lui faire les pieds. Malheureusement, le propriétaire du véhicule le prend en flagrant délit et se met dans l'idée que Sean est un espion au service de la couronne britannique.
[Après une petite séance de torture dans un lieu spécialement étudié pour ce genre de traitement, Dierker crible de balles la tête du pauvre Jules qui n'avait déjà plus ses yeux pour pleurer, mais fait l'erreur de laisser Sean en vie. Ce dernier, décidé à venger son copain avant d'aller le rejoindre, parvient à échapper aux Boches déjà en train de réduire les environs et ses habitants en cendres. Il va finir par rejoindre Paris afin de trouver refuge au Belle de Nuit, un cabaret très populaire tenu par Ludivine et Michel Rousseau, les parents de Jules et Véronique.
[Trois mois plus tard, Sean rencontre Luc, un membre influent de la Résistance qui s'organise petit à petit. Tout en gardant à l'esprit son objectif de faire sauter la caboche à Dierker, Sean va commencer à mettre des bâtons dans les roues des Nazis en faisant marcher son cerveau, travailler ses poings et parler la poudre.
Oh ! SS 117 !
[Sean Devlin devient pour ainsi dire un homme à tout faire. Pour le compte de divers commanditaires, il se chargera de faire sauter à la dynamite des installations du troisième Reich, de conduire et de ramener des résistants, d'éliminer des traîtres ou des officiers de l'armée allemande, d'apaiser l'esprit d'un prêtre défroqué prenant en confession un membre de la Gestapo, d'aller s'emparer d'un artefact mystérieux déterré au cimetière du Père Lachaise par les soldats d'Hitler, de libérer des prisonniers de guerre de camps placés sous étroite surveillance.
Souvent, il devra neutraliser discrètement un des envahisseurs et enfiler ses vêtements pour passer incognito dans les rangs de l'ennemi, même si il ne fera pas illusion longtemps en collant de trop près un autre soldat ou en se comportant de manière louche. Vêtu d'un uniforme germanique, Sean devra en particulier éviter de courir, de mettre son arme en joue ou d'escalader un bâtiment en présence de l'occupant, sous peine de voir sa couverture grillée très rapidement, les deux derniers exemples étant aussi valables lorsqu'il évolue en civil.
[Après certains actes de bravoure majeurs, Sean redonnera littéralement des couleurs et de l'espoir aux quartiers tombés sous le joug et la grisaille du régime martial teuton. A Paris comme au coeur d'une province étrangement proche de la capitale, Sean trouvera des planques où il pourra récupérer des ordres de mission, stocker et récupérer des véhicules volés, acheter et améliorer des armes en collectant des marchandises de contrebande pour les échanger sur le marché noir ou encore s'assurer les services de résistants fidèles qui viendront l'épauler en cas de coup dur, sous forme de renforts armés ou d'un véhicule providentiel.
[Ces lieux stratégiques seront en revanche interdits d'accès lorsque l'alerte aura été donnée par les Allemands, laissant à Sean trois possibilités pour calmer le jeu : se tailler le plus loin possible à pied mais surtout en véhicule, trouver une cachette temporaire sans Nazi autour - une pissotière, une trappe - et attendre que l'orage passe ou "nettoyer" la zone et désactiver l'alarme la plus proche lorsqu'elle a été donnée près d'un bâtiment ou d'une zone gardée.
L'Allemagne, ça vous gagne ?
[Sean Devlin est surtout un personnage de jeu vidéo. C'est grâce à cela qu'il encaisse particulièrement bien les balles et les explosions, que sa santé se régénère instantanément après une poignée de secondes passées sans se faire toucher, que personne n'appelle les forces de l'ordre lorsqu'il tire une caisse en pleine rue et qu'il peut assommer un homme à mains nues sans se faire mal en tapant uniquement sur son casque.
[C'est à cause de cela que le mouvement de ses lèvres est régulièrement en décalage avec ses paroles, que le volume de sa voix augmente ou baisse sans raison apparente, que ses répliques n'ont parfois aucun rapport avec la discussion et que ses mouvements sont aussi gracieux que ceux d'un orang-outan, l'absence de véritable lock et la manière dont sont configurés les boutons qui servent à le faire agir n'étant pas des plus agréables.
C'est aussi pour cela que tous les personnages qu'il rencontre présentent les mêmes symptômes et sont aussi caricaturaux dans leurs apparences que dans leurs discours, traduits de manière assez aléatoire en français malgré quelques répliques qui font mouche. Inspiré de la réalité mais tout aussi virtuel, le monde dans lequel Sean progresse est très vaste, rempli de petits objectifs et possède un cachet certain assuré autant par le filtre graphique noir et blanc mâtiné de tâches de couleur que par la reproduction amusante de Paris.
[Pourtant, ce même univers accuse des grèves de textures régulières (surtout sur PS3), des ralentissements de l'action occasionnels et des phénomènes gravitationnels défiant les lois connues de la nature. En tant que personnage de jeu vidéo, Sean doit se coltiner des ennemis passablement abrutis, incapables de monter une échelle pour venir le chercher sur un toit et n'essayant jamais de se mettre à couvert face au feu nourri des résistants, mais aussi des véhicules à la conduite parfois assez laborieuse. Il y a heureusement aussi des avantages à se balader dans un jeu, comme celui de rallier Le Havre depuis la place de la Bastille en deux minutes chrono, de croiser des sympathisantes nazies au décolleté très sympathique tous les trente mètres en Allemagne ou de suivre une histoire et des personnages tellement invraisemblables qu'ils en deviennent excessivement drôles. Cela n'efface pas pour autant les défauts de l'aventure, mais cela peut aider à passer outre et s'en amuser.
Note :
6/10
Sans être un exemple de game design ni une prouesse sur le plan technique, The Saboteur se révèle être un jeu assez classique mais plutôt correct dans l'ensemble, l'ambiance, le ton assez décomplexé et la patte graphique étant pour beaucoup dans son charme. La prise en main laisse à désirer sur certains points, l'I.A. des ennemis est décevante, les animations manquent de soin, les doublages comme les traductions donnent parfois des sueurs froides, mais pour peu qu'on aime les mondes ouverts vastes regorgeant de quêtes annexes, combattre des Nazis et prendre le script, les personnages et les dialogues au second degré, il y a matière à passer des moments assez rigolos avec le titre de Pandemic.
Les plus...
Les moins...
Source:Gamekult
[Electronic arts a trouvé un bon moyen pour vous convaincre d'acheter le Saboteur en neuf : tout simplement en rajoutant un code dans la boite du jeu vous permettant de télécharger le DLC "The Midnight Show" . Si vous achetez votre jeux d'occasion et que le code a déjà servi, vous pourrez toujours récupérer le DLC mais il vous coutera 400 Microsoft Points.
[Le pack sera disponible le jour de la sortie du jeu (c'est à dire demain) et contiendra de nouvelles cachettes dans Paris, un nouveau mini-jeu et l'option pour débloquer la nudité dans le jeu.
Source:Gamers.fr
Vidéo: Premières impressions
Cliquez ICI pour voir la vidéo
Test complet
Des titres se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale, ce n'est pas ce qui manque dans l'histoire des jeux vidéo, notamment dans les catégories du FPS, de la stratégie ou de la simulation de combat aérien. On y incarne la plupart du temps des soldats envoyés au front pour libérer la France, mais plus rarement un résistant irlandais, mécanicien, pilote de course et homme à femmes. C'est ce qu'ont dû se dire les équipes de feu-Pandemic avant de concevoir The Saboteur, jeu testament du studio américain nous ayant habitué à des aventures aussi explosives que sans finesse avec leurs séries Destroy All Humans et Mercenaries. En transposant les formules d'Assassin's Creed et de Grand Theft Auto dans le Paris des années 40, les développeurs vont-ils réussir à gagner la guerre ?
C'est chaud, Sarrebruck
[Sean Devlin représente ce que l'on peut appeler un homme aux plaisirs simples. Originaire des vertes contrées d'Irlande, il aime boire des coups et en tirer, griller des brunes et ses concurrents au volant de voitures de compétition, mais aussi passer des moments joyeux avec Jules, son meilleur pote, Véronique, la soeur de son ami et Vittore, à la fois coach et père adoptif. D'une nature un peu sanguine, Sean n'a pas vraiment apprécié de se faire voler une victoire acquise au grand prix de Sarrebruck par Dierker, un pilote allemand vaniteux, tricheur et nazi de surcroît.
[ Après la course et avec l'aide de son Jules, il décide donc d'aller faire visiter le fond d'un précipice au bolide de son concurrent déloyal pour lui faire les pieds. Malheureusement, le propriétaire du véhicule le prend en flagrant délit et se met dans l'idée que Sean est un espion au service de la couronne britannique.
[Après une petite séance de torture dans un lieu spécialement étudié pour ce genre de traitement, Dierker crible de balles la tête du pauvre Jules qui n'avait déjà plus ses yeux pour pleurer, mais fait l'erreur de laisser Sean en vie. Ce dernier, décidé à venger son copain avant d'aller le rejoindre, parvient à échapper aux Boches déjà en train de réduire les environs et ses habitants en cendres. Il va finir par rejoindre Paris afin de trouver refuge au Belle de Nuit, un cabaret très populaire tenu par Ludivine et Michel Rousseau, les parents de Jules et Véronique.
[Trois mois plus tard, Sean rencontre Luc, un membre influent de la Résistance qui s'organise petit à petit. Tout en gardant à l'esprit son objectif de faire sauter la caboche à Dierker, Sean va commencer à mettre des bâtons dans les roues des Nazis en faisant marcher son cerveau, travailler ses poings et parler la poudre.
Oh ! SS 117 !
[Sean Devlin devient pour ainsi dire un homme à tout faire. Pour le compte de divers commanditaires, il se chargera de faire sauter à la dynamite des installations du troisième Reich, de conduire et de ramener des résistants, d'éliminer des traîtres ou des officiers de l'armée allemande, d'apaiser l'esprit d'un prêtre défroqué prenant en confession un membre de la Gestapo, d'aller s'emparer d'un artefact mystérieux déterré au cimetière du Père Lachaise par les soldats d'Hitler, de libérer des prisonniers de guerre de camps placés sous étroite surveillance.
Souvent, il devra neutraliser discrètement un des envahisseurs et enfiler ses vêtements pour passer incognito dans les rangs de l'ennemi, même si il ne fera pas illusion longtemps en collant de trop près un autre soldat ou en se comportant de manière louche. Vêtu d'un uniforme germanique, Sean devra en particulier éviter de courir, de mettre son arme en joue ou d'escalader un bâtiment en présence de l'occupant, sous peine de voir sa couverture grillée très rapidement, les deux derniers exemples étant aussi valables lorsqu'il évolue en civil.
[Après certains actes de bravoure majeurs, Sean redonnera littéralement des couleurs et de l'espoir aux quartiers tombés sous le joug et la grisaille du régime martial teuton. A Paris comme au coeur d'une province étrangement proche de la capitale, Sean trouvera des planques où il pourra récupérer des ordres de mission, stocker et récupérer des véhicules volés, acheter et améliorer des armes en collectant des marchandises de contrebande pour les échanger sur le marché noir ou encore s'assurer les services de résistants fidèles qui viendront l'épauler en cas de coup dur, sous forme de renforts armés ou d'un véhicule providentiel.
[Ces lieux stratégiques seront en revanche interdits d'accès lorsque l'alerte aura été donnée par les Allemands, laissant à Sean trois possibilités pour calmer le jeu : se tailler le plus loin possible à pied mais surtout en véhicule, trouver une cachette temporaire sans Nazi autour - une pissotière, une trappe - et attendre que l'orage passe ou "nettoyer" la zone et désactiver l'alarme la plus proche lorsqu'elle a été donnée près d'un bâtiment ou d'une zone gardée.
L'Allemagne, ça vous gagne ?
[Sean Devlin est surtout un personnage de jeu vidéo. C'est grâce à cela qu'il encaisse particulièrement bien les balles et les explosions, que sa santé se régénère instantanément après une poignée de secondes passées sans se faire toucher, que personne n'appelle les forces de l'ordre lorsqu'il tire une caisse en pleine rue et qu'il peut assommer un homme à mains nues sans se faire mal en tapant uniquement sur son casque.
[C'est à cause de cela que le mouvement de ses lèvres est régulièrement en décalage avec ses paroles, que le volume de sa voix augmente ou baisse sans raison apparente, que ses répliques n'ont parfois aucun rapport avec la discussion et que ses mouvements sont aussi gracieux que ceux d'un orang-outan, l'absence de véritable lock et la manière dont sont configurés les boutons qui servent à le faire agir n'étant pas des plus agréables.
C'est aussi pour cela que tous les personnages qu'il rencontre présentent les mêmes symptômes et sont aussi caricaturaux dans leurs apparences que dans leurs discours, traduits de manière assez aléatoire en français malgré quelques répliques qui font mouche. Inspiré de la réalité mais tout aussi virtuel, le monde dans lequel Sean progresse est très vaste, rempli de petits objectifs et possède un cachet certain assuré autant par le filtre graphique noir et blanc mâtiné de tâches de couleur que par la reproduction amusante de Paris.
[Pourtant, ce même univers accuse des grèves de textures régulières (surtout sur PS3), des ralentissements de l'action occasionnels et des phénomènes gravitationnels défiant les lois connues de la nature. En tant que personnage de jeu vidéo, Sean doit se coltiner des ennemis passablement abrutis, incapables de monter une échelle pour venir le chercher sur un toit et n'essayant jamais de se mettre à couvert face au feu nourri des résistants, mais aussi des véhicules à la conduite parfois assez laborieuse. Il y a heureusement aussi des avantages à se balader dans un jeu, comme celui de rallier Le Havre depuis la place de la Bastille en deux minutes chrono, de croiser des sympathisantes nazies au décolleté très sympathique tous les trente mètres en Allemagne ou de suivre une histoire et des personnages tellement invraisemblables qu'ils en deviennent excessivement drôles. Cela n'efface pas pour autant les défauts de l'aventure, mais cela peut aider à passer outre et s'en amuser.
Note :
6/10
Sans être un exemple de game design ni une prouesse sur le plan technique, The Saboteur se révèle être un jeu assez classique mais plutôt correct dans l'ensemble, l'ambiance, le ton assez décomplexé et la patte graphique étant pour beaucoup dans son charme. La prise en main laisse à désirer sur certains points, l'I.A. des ennemis est décevante, les animations manquent de soin, les doublages comme les traductions donnent parfois des sueurs froides, mais pour peu qu'on aime les mondes ouverts vastes regorgeant de quêtes annexes, combattre des Nazis et prendre le script, les personnages et les dialogues au second degré, il y a matière à passer des moments assez rigolos avec le titre de Pandemic.
Les plus...
* Les Nazi(e)s
* Le traitement graphique
* La zone de jeu très étendue
* La géographie rigolote
* Le scénario abracadabrantesque
* Des répliques bien senties
Les moins...
* La prise en main un peu confuse
* Le doublage et le mixage français
* Animations rigides
* Des ennemis très idiots
* Plusieurs soucis techniques
Source:Gamekult
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
Scandaleux cette démarche, en quelques années le milieu du jeux video sur console a perdu ton scrupule a saigner les joueurs a blanc, internet sur les consoles cest pas que du bon enfait...
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
Sauvegarde...
15/20 sur jeux actu
www.jeuxactu.com...
perso je pense pas que ça soit ue déception je le prend dès que je peux l'ambiance la jouabilité et là et il sort de l'ordinaire
Edité le 04/12/2009 à 20:58
www.jeuxactu.com...
perso je pense pas que ça soit ue déception je le prend dès que je peux l'ambiance la jouabilité et là et il sort de l'ordinaire
Edité le 04/12/2009 à 20:58
Sauvegarde...
Dans The Saboteur, on peut tout faire, ou presque
Tenez, la preuve, dans le jeu, un homme peut embrasser une femme malgré le fait qu’il ait une cigarette collée aux lèvres. Comme quoi.
Oui, c’est petit de pointer ce genre de détails du doigt (mais c’est drôle…)
Source:Journal du gamer
Tenez, la preuve, dans le jeu, un homme peut embrasser une femme malgré le fait qu’il ait une cigarette collée aux lèvres. Comme quoi.
Oui, c’est petit de pointer ce genre de détails du doigt (mais c’est drôle…)
Source:Journal du gamer
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Les avis des internautes
1 BONNE RAISON D'Y JOUER
L'avis de : Anonyme
Très bon
super!!!!!!!!!!!!!!!!
cé pendant l'occupation , il est bien fait , seulement 2 defaut on peut avoir que deux armes et les bonus son dur a avoir , il a plein d'arme de la seconde guerre mondial que je ne connaisait pas
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